Actualités of Sunday, 8 May 2022

Source: www.camerounweb.com

Dubaï : Serge Pouth fait de surprenantes révélations sur le scandale du Porta Potty

Le scandale Dubai Gate continue d’alimenter les débats Le scandale Dubai Gate continue d’alimenter les débats



• Le scandale Dubai Gate continue d’alimenter les débats

• C’est au tour de Serges Pouth de donner son avis là dessus

• Le journaliste de Crtv estime que la morale de la chair peut conduire nos contemporains à certaines dérives.


Le Dubai Porta Potty continu d’alimenter les débats au Cameroun et dans plusieurs pays africains. Ce qui se fait à Dubaï est tout simplement diabolique, selon le journaliste travaillant pour le média du contribuable camerounais Crtv, Serge Pouth. « Il faut être né du diable pour faire ce qu’on entend en provenance de Dubaï », commente-t-il dans une récente sortie sur son compte Facebook.

« La décence m’interdit de nommer les pratiques dénoncées ces derniers temps sur divers supports, abominations ayant la femme pour terrain d’application. Déféquer sur un être humain. Obiger untel à manger des vomis et/ ou à coucher avec un animal, c’est plus bas que bestial. Car, sachons le, aucun animal ne se livre à de telles bassesses. C’est à croire que la foi en l’argent, la déification de l’argent est perdition », explique-t-il.

« Je n’ose pas prédire que le sort de Sodome et Gomorrhe guette ces villes qui ont ces vices pour modèles de progrès. Attention toutefois de ne pas fixer les regards sur Dubaï exclusivement. Souvenez-vous du travail d’alerte fait par Amélie Koh Bella, il y a une dizaine d’années. La compatriote dénonçait déjà ces pratiques innommables consistant à payer cher la consommation des matières fécales et du pipi dans les flûtes de champagne et les coupes de crème », ajoute l’homme de média.

« Des pratiques courantes au pays des droits de l’homme. Voilà qui montre jusqu’où la morale de la chair peut conduire nos contemporains. C’est la pointe avancée dirait-on de la modernité. Sûrement que l’homme augmenté, qui est à venir, nous fera voir de toutes les couleurs », conclut Serge Pouth.