La stupidité a encore coûté la vie à un jeune à Édéa qui est une communauté urbaine, chef-lieu du département de la Sanaga-Maritime dans la région du Littoral au Cameroun.
Là-bas, nous apprenons qu’un élève de la terminale A4 langue espagnole a été découpé. Toute la population à Édéa est extrêmement choquée, ne comprenant pas comment deux (02) personnes censées faire la part des choses peuvent aller jusque-là pour une histoire banale qui plus est.
La précision faite par la source sur place est que l’élève surnommé "Socrate", un apprenant « en classe de terminale A4 espagnol au Lycée d'Ossombah (Édéa) s'est fait découpé hier nuit vers vingt-deux (22) heures par son ami au quartier ».
L’histoire est que « tout est parti d'une dispute entre les deux (02) hier jeudi le 02 mars dans l'après-midi où les élèves en question se sont battus et l'élève "Socrate" a gagné. L'origine du problème était de savoir qui est le plus BG (le plus beau) du quartier ».
C’est alors que « l'ami n'ayant pas apprécié ce "manque de respect", reviendra à la charge tard la nuit chez "Socrate" avec cette fois une machette pour en finir. Il lui coupa le bras et en voulant couper le cou, il rata sa cible mais fendra la tête au niveau du front ».
C’est une scène complètement dramatique et insupportable pour les riverains : « La mère de l'élève qui a entendu des cris, sort et trouva son fils en train d'agoniser. C'est ainsi que le "coupeur" prendra la fuite ».
« L'élève est actuellement entre la vie et la mort à l'hôpital tandis que le "coupeur" est toujours activement recherché », nous précise l’informateur.
La raison ou le bon sens est en train de quitter la jeunesse camerounaise. Il y a vraiment lieu de se ressaisir, avec des responsabilités partagées entre plusieurs personnes : les jeunes eux-mêmes, les amis et l’entourage immédiat, les parents, les modèles dont ils s’inspirent dans la société, le gouvernement, etc.