Dans le communiqué radio-presse, le Directeur général des Elections, Erik Essousse s’adresse premièrement à l’opinion publique en général, secondairement et de façon particulière aux acteurs du processus électoral. Le premier point de sa communication porte sur les camerounais régulièrement inscrits sur le fichier électoral. Il est dit que ces derniers ont été affectés dans un bureau de vote selon les dispositions du Code électoral.

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Erik Essousse en deuxième point de sa communication apporte un éclairci sur l’expression «centre de vote» qui pourra être utilisée. Aussi écrit-il «l’expression «centre de vote» renvoie à un regroupement de plusieurs bureaux de vote concentrés dans le même site; avec une dénomination précise, et ne saurait remplacer le bureau de vote tel que consacré par la loi électorale, et qui reste le seul lieu où l’électeur accomplit son vote».

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En troisième point, le Directeur général des Elections indique que la délocalisation des bureaux de vote répond aux exigences de la sécurisation des électeurs, des membres des différentes commissions mixtes électorales et du matériel électoral. Aussi concernant les régions anglophones en proie à la crise anglophone, il précise que les bureaux de vote de ce côté conservent leur dénomination et les mêmes électeurs régulièrement inscrits.