C’est une phrase qui a été bel et bien prononcée par une citoyenne camerounaise éligible, à quelques années seulement de l’élection présidentielle de 2025 où l’on ne sait pas encore si Paul Biya se représentera ou alors s’il choisira de laisser la voie libre à un membre de son parti qui pourrait être son fils Emmanuel Franck Biya.

Je serais un jour présidente de la République du Cameroun

Ne prenez surtout pas la baisse de mon combat politique de ces derniers temps pour du renoncement, non jamais.

Mon accident de voiture a énormément changé beaucoup de chose dans ma vie, car comme vous le saviez déjà tous, je devais logiquement être en ce moment au Cameroun en prélude à l’élection présidentielle de 2025 mais ce n’est que partie remise…

J’espère pouvoir participer aux élections présidentielles de 2032, ce qui est toujours OK car je n’aurais alors que quarante-huit (48) ans.

Le Cameroun a besoin de l’engagement des femmes fortes, courageuses et déterminées comme moi pour se relever.

Car jusqu’ici, les hommes qui gouvernent ce pays ont lamentablement échoué. Je mène le combat pour un Cameroun et un Afrique meilleur depuis mes vingt (20) ans à peine entamés, nous écrirons ensemble son épique.

Certains sans doute diront que c’est impossible, Il y a d'ailleurs un très beau proverbe : « Tout le monde savait que c'était impossible. Un ignare ne le savait pas : il l'a fait ».

Il est bien vrai que parfois, un jeune homme ignorant les règles, ou les méprisant, ouvre tout à coup une voie nouvelle...

A ma terre, un jour je reviendrais. Pour être pour mon pays le rêve que je voudrais voir les autres incarner.

Viens te signaler, si tu seras toujours prêt à me soutenir.

Ces paroles sont de Dr Carole Modestine Yonzou Tchatchouang alias la fille de la République, grande alliée du président de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot) Samuel Eto'o Fils.

Elle les a dites sur sa page Facebook mardi le 17 janvier 2023.