Une source a raconté une histoire de façon anonyme sur les réseaux sociaux. On se rend vraiment compte que parfois, il vaut mieux juste garder le silence si on ne veut pas que la situation se retourne contre nous.

J'espère que vous vous portez bien. Je rebondis sur le poste de la jeune dame qui s'est fait violenter par le bazooka d'un homme marié. Madame, faites très attention avant d'aller porter plainte. Je vous raconte ce qui est arrivé à ma tante ici en 2011. Ma tante n'arrivait pas à trouver un homme. C'est alors qu'elle a eu l'idée de séduire le mari d'une compatriote ici à Orléans, nous sommes Camerounaises.

La femme de ce monsieur travaillait ailleurs en semaine et rentrait le week-end, donc ma tante avait le champ libre. Tout comme vous je l'avais prévenue sur le bazooka hors norme de ce monsieur, car il jouait souvent au ballon le week-end avec mon mari et ils se sont retrouvés dans les vestiaires. Toute l'équipe et les autres personnes disaient qu'aucun d'eux n'acceptera que ce gars sorte avec leur fille ou leur sœur à cause de son énorme bazooka.

Elle y est allée quand même, mais ça se voyait qu'elle souffrait la nuit avec ce bazooka, mais elle supportait tant qu'elle avait un homme. Voilà maintenant qu'un jour, sa femme est rentrée et a décidé de travailler désormais sur place à la maison et le monsieur a décidé de rompre avec ma tante. Ça a fait boom, ma tante ne l'entendait pas de cette oreille puisque le monsieur lui disait qu'il ne voulait plus de sa femme alors qu'il mentait.

Ma tante a commencé à mettre la pression au monsieur, il l'a même bloquée. Alors, elle a décidé de lui demander un dédommagement financier, dès que sa femme sortait, ma tante atterrissait pour lui réclamer l'argent pour 8 mois de grossesse subis.

Une fois de plus, je l'ai prévenue de laisser tomber, car nous sommes dans un pays de droit. Elle m'a traitée de tous les noms d'oiseaux. Elle est encore partie lui réclamer les sous. Le monsieur l'a enregistrée et est allée porter plainte pour harcèlement sexuel et tentative d'extorsion. Un matin à 6h, la police toque chez elle, on l'a menottée. Nous étions voisins, la honte pouvait nous tuer devant mon mari, mes enfants et moi.

Au commissariat, elle était obligée de reconnaître les faits, avec la vidéo à l'appui. Elle a accepté de dédommager le monsieur de 9 500 euros et de ne plus jamais approcher le monsieur à moins d'un kilomètre. Jusqu'à présent, elle paie toujours cette dette et n'a jamais oublié cette histoire.