Chaque président, surtout Africain, a son côté mystique. Si pour certains, il est bien enfoui dans les jardins secrets de leur intimité, pour Paul Biya malheureusement ces actes le trahissent. Il a quelques habitudes qui reviennent tout au long de son ‘règne’. Ce serait une manière pour lui de se protéger contre les ‘malédictions’, les mauvaises langues et les attaques mystiques.

D’après les révélations du site Slate.fr, le président Camerounais, Paul Biya a toujours l’air de mâcher quelque chose aucours des cérémonies publiques. «Il est fort probable que ce soit des écorces d’arbres ou des racines de plantes qu’il mâche ainsi lorsqu’il est en public.» Et pour cause : « Ils lui permettraient d’être invulnérable à toute forme d’agression extérieure,» d’après le politologue Mathias Owona Nguini, observateur averti des mœurs politiques au Cameroun.


Manger des écorces ne serait pas le seul mystère pour le président de se blinder, Paul Biya face aux présidents Français adoptent une autre habitude qui a traversé les décennies. Son écharpe et son manteau magiques qui auraient connu Mitterand, Chirac, Sarkozy, Hollande et tout dernièrement Macron.
Il nous a été révélé que pour sa première rencontre avec le président Français nouvellement élu à l’Elysée, Paul Biya se revêt toujours son manteau noir et son écharpe bleu marine teinté de jaune.


Cela a commencé avec François Miterrand, il s’en est poursuivi après avec Jean Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy, François Hollande et Emmanuel Macron qui l’a reçu en début de semaine à l’Elysée.

Pour certaines langues, il s’agirait d’une habitude à connotations mystiques. Ne serait-ce une manière de subordination de Paul Biya, d’allégeance du président Camerounais à celui français eu égard aux normes maçonniques. Ou soit une autre manière pour Paul Biya de dominer mystiquement son hôte.


Des commentaires vont bon train sur la toile sur cette pratique peu orthodoxe du président Paul Biya qui est au pouvoir depuis 35 ans au Cameroun. Une vraie idole qui a connu le pouvoir en 1982 et s’en est plus détaché. Il a traversé 3 décennies et a connu les 5 derniers présidents de la France.
Paul Biya serait aussi un grand classique des accoutrements et de la musique d’après les révélations du journal JeuneAfrique.


«Le bureau (du président au palais de l’unité, ndlr) ne dispose pas de téléviseur mais d’un transistor, qui alterne entre émissions radio et musique classique. Le président écoute Beethoven ou Händel, des goûts classiques hérités de sa formation sacerdotale chez les pères (alsaciens) du Saint-Esprit et de son passage au Petit séminaire d’Akono (Centre). Le silence monacal est de rigueur.



Après s’être restauré, Paul Biya entame sa journée de travail. Nul ne l’a jamais vu au bureau sans son éternel costume croisé sombre, même si le soir venu, il le troque volontiers contre une saharienne et une écharpe» écrit Georges Dougueli, l’auteur de l’enquête.