Le rapport historique sur l'engagement français au Cameroun pendant la période post-coloniale a été remis aussi bien à Emmanuel Macron qu'à Paul Biya. Ce rapport fait l'objet de débats dans la presse.
Le Professeur Patrice Nganang dont on connait l'engagement en matière de lutte contre la néo colonisation, a suivi une sortie de Karine Ramondy, co-présidente de la commission mémoire Cameroun-France sur Canal2 International.
Les propos de cette université a mis le Camerounais hors de lui.
Voilà ce qu'il écrit sur sa page Facebook
"CE QUE LA FEMME-CI EST VENUE DIRE AU CAMEROUN HEIN, C'EST QUE LA FRANCE N'A COMMIS AUCUN CRIME CONTRE L'HUMANITE AU CAMEROUN DE 1956-1971
Car:
1) Le déplacement des populations n'est pas un crime contre l'humanité, exemple, déguerpir les gens de Mokolo-Elobi pour Biyem Assi n'est pas un crime contre leur humanité, c'est même fait pour leur propre bien même si parfois il y'a des effets collatéraux (jambes fracturées, meubles brises, fenêtres cassées, biens perdus, des blesses, et même quelques morts malheureux, et quelques agitateurs neutralises), et même si il se passe que Mokolo-Elobi est habite majoritairement par les Bamileke, ou les Bassa, ou les Moundang.
Mais, mais, mais, mais:
2) La déportation des populations est un crime contre l'humanité, selon l'article Article 7(1)(d) des statuts de Rome.
No name dans sa vie académique, elle a donc pris l'avion de son pays a elle, la France, pour venir jusqu'à Yaoundé dire aux Camerounais que de 1956-1971, la France a fait 1), mais pas 2).
Emmanuel Macron veut rouler nos populations dans la boue, après que ses parents aient roule les nôtres dans le sang. Ah, les Bulu! Les Bulu! Les Bulu! Ils ont reçu combien pour ces genres de sale boulot qui les fait fuir Yaoundé forestier ou ils habitent et envoyer la Blanche au choc?"