Après avoir publié une décision de Justice lui donnant raison, Marlène Emvoutou a réussi à obtenir de la justice, une ordonnance d'arrestation de la dame qui l'a récemment faite sortir du domicile qu'elle occupait.
Mais comment est-ce possible? Dr Modestine Yonzou a mené sa petite enquête et fait des révélations, sur comment Marlène Emvoutou a manœuvrer la bailleresse, en utilisant le nom de son mari.
Selon la Dr en psychologie, l'experte en Markéting sportif est très maline. Il est dit qu'elle ne loue pas la maison qu'elle occupait, car ce n'est pas elle qui louait la maison, mais plutôt son mari.
"Emvoutou publie la décision de justice qui la déclare non coupable de filouterie de loyer. Mon commentaire : La décision de justice peut se comprendre par le fait que le contrat de bail n’était pas au nom de Emvoutou, mais de son ex-mari.
Il en découle donc que Emvoutou qui n’a jamais travaillé de toute son existence a utilisé son mari pour louer une maison à Yaoundé. Ce dernier a sans doute arrêté de payer ladite maison en raison du conflit avec son ex épouse. Cependant, Emvoutou a continué à squatter ladite maison où elle dormait sur un matelas au sol. Prenant ainsi en otage la sueur d’une dame pendant 25 mois sans payer le loyer. Il s’agit donc clairement et simplement d’une entreprise d’escroquerie de la part d’Emvoutou. Autrement, comment expliquer qu’elle ait continué à habiter une maison donc son mari ne payait plus les loyers ?", a écrit Dr Modestine dans une publication sur sa page Facebook il y a quelques heures.
"Ledit mari ne résidant pas au Cameroun, On comprend à suffisance que Emvoutou l’a juste utilisé pour détourner le bien d’autrui en se couvrant de la justice.
Si elle n’est donc pas condamnable aux yeux de la justice, il n‘en demeure pas moins que nous sommes face à un cas de fraude et d’abus du bien d’autrui. C’est vraiment triste pour une vendeuse d’illusion qui publie les faux sacs de marque sur les réseaux sociaux pour se faire passer pour une Milliardaire et mieux escroquer la jeunesse.
C’est ici le lieu pour nous d’appeler à la vigilance de nos cadets prompts à suivre ces vendeuses de vents qui pullulent sur les réseaux sociaux. Tout ce qui brille n’est pas or, dit l’adage, faites attention", ajoute t-elle.