Dans le sillage de l'enquête sur l'assassinat du journaliste Martinez Zogo, des révélations saisissantes émergent au Tribunal Militaire. En exclusivité, l'un des gardes du corps présumés de Zogo, Alain Ekassi, est arrêté et fait face à des poursuites judiciaires, soulevant des questions cruciales sur la complexité de cette affaire.

Les investigations ont révélé qu'Alain Ekassi, présenté comme le garde du corps de Martinez Zogo, est en réalité un "faux gendarme", un repris de justice avec des liens présumés avec des responsables du SED et de la présidence de la République. Plus intrigant encore, il avait en sa possession un émetteur de la gendarmerie nationale, un équipement sérieux destiné aux forces de l'ordre.

La procédure judiciaire en cours au Tribunal Militaire se concentre désormais sur les circonstances entourant la possession par Ekassi de cet équipement officiel de la gendarmerie. Comment et pourquoi s'est-il retrouvé en possession de cet émetteur, et quel était l'objectif sous-jacent? Qui a autorisé la remise de cet équipement, et dans quel dessein?

Les réponses à ces questions cruciales pourraient apporter une nouvelle lumière sur les tenants et aboutissants de l'affaire Martinez Zogo, révélant des connexions plus profondes et des motivations jusqu'ici obscures. Le Tribunal Militaire, engagé dans une procédure minutieuse, explore chaque piste pour dévoiler la vérité derrière ce mystère complexe.

Alors que les audiences se poursuivent, l'affaire Martinez Zogo prend une tournure inattendue, soulignant la nécessité d'une analyse approfondie pour comprendre les ramifications de cette tragédie qui a secoué la scène médiatique camerounaise.