• Rigobert Song est au centre de toutes les attentions

• Il entretient une relation particulière avec la première dame

• Chantal Biya a sauvé le capitaine une deuxième fois


Depuis 48 heures, Rigobert Song est revenu avec fracas au-devant de la scène médiatique avec la confirmation de sa nomination à la tête de sélection A des Lions Indomptables. Même s’il est claire que cette nomination découle de la volonté de l’actuel président de la Fédération camerounaise de football, Samuel Eto’o, elle n’a été rendue possible que grâce à l’intervention ultime de Chantal Biya, qui n’est plus à présenter. Dans le sérail, c’est elle qui a eu à dire le dernier mot face à un clan conduit par le ministre des Sports qui militait pour la continuité. L’histoire d’amour entre la première dame et l’ancien défenseur des Lions Indomptables ne date pas d’hier. Remontons en 5 ans en arrière.

Il y a 5 ans, le sélectionneur des Lions A’ était victime d’un accident vasculaire cérébrale qui a failli lui être fatale. Seulement, il a eu la vie sauve aussi, en partie grâce à la diligence du couple présidentiel et surtout l’implication personnelle de la première dame. A son retour de la France où il a été évacué, il avait tenu à rendre un hommage mérité à la première dame. A son retour, Rigobert Song s’est montré très reconnaissant pour sa vie envers ses bienfaiteurs. A l’époque sur le plateau de la CRTV, il a remercié en premier le Dieu tout-puissant pour sa bonté, sa grâce de lui rendre la vie. Ensuite au tour du couple présidentiel d’être remercié pour les moyens qu’il a déployé pour « qu’il puisse revenir au Cameroun ». Enfin, il a tenu à dire également un grand merci au « peuple camerounais qui a été présent lors de son accident et qui a prié pour son rétablissement ».


Cette proximité avec le couple présidentiel lui avait d’ailleurs valu des critiques. « Rigo, le héros national est également sujet depuis son retour des critiques sur ces prétendues relations avec le couple Biya qui a pris en charge tous ses frais de santé et même au-delà », écrivait Camrounweb à l’époque.