Actualités of Monday, 28 March 2022

Source: www.camerounweb.com

Etoudi : nouvelles révélations de Jeune Afrique sur les ambitions présidentielles de Samuel Eto'o

Eto'o digne sucesseur de Paul Biya Eto'o digne sucesseur de Paul Biya

• La popularité de Samuel Eto’o fait jaser

• On lui prête des ambitions présidentielles

• Jeune Afrique fait d’autres révélations

Samuel Eto’o est un homme très populaire aussi bien au Cameroun que dans le monde. C’est une lapalissade. Depuis son arrivée à la tête de la Fédération camerounaise de football, l’on lui prête également une ambition présidentielle. Certains voient en lui, une alternative crédible à la succession de Paul Biya à la tête du Cameroun. Dans un nouveau papier, Jeune Afrique fait des révélations sur comment le Pichichi vit toutes rumeurs autour de sa personne.



« Propulsé à la tête de la Fecafoot en décembre, l’ancien attaquant star du Barça prend soin de n’afficher aucune ambition autre que footballistique. Mais à Yaoundé, on le soupçonne de se rêver un destin à la George Weah et de lorgner la succession de Paul Biya », introduit Jeune Afrique.

« Minuit à Douala. À la sortie d’un restaurant de Bonapriso, un quartier pavillonnaire huppé de la capitale économique, on n’entend plus que des « Eto’o, président ! » L’ancienne star du football est assaillie par plusieurs dizaines de personnes, smartphone à la main.En tenue de soirée ou en chemise bigarrée, gardien de nuit en uniforme ou ménagère sortie des pavillons attenants, chacun exige selfie et dédicace. Samuel Eto’o était pourtant arrivé discrètement, au volant d’une voiture ordinaire, avec masque anti-Covid et coiffé d’une casquette. Mais ses efforts pour passer inaperçu sont vains », révèle le Magazine panafricain.

« L’ancien attaquant du Barça se serait-il rendu dans un quartier populaire que la ferveur aurait été encore plus forte. Lors de l’élection à la tête de la Fédération camerounaise de football (Fecafoot), le 11 décembre, les autorités avaient même craint des troubles à l’ordre public en cas de défaite. Son succès a annihilé les risques d’émeutes et accru la popularité du ‘président’ », poursuit Jeune Afrique