Dans un développement inattendu, l’affaire DJOMENI Éric, le gardien d’OPPOPO prétendument séquestré et torturé par Valentin KWAIN, prend une tournure dramatique. Alors qu’une vidéo récente montrait DJOMENI Éric affirmant que tout allait bien, de nouveaux éléments viennent contredire cette version des faits, confirmant les pires craintes de sa famille et de ses proches.
Il y a quelques heures, une vidéo exclusive a été diffusée, dans laquelle DJOMENI Éric, visiblement sous pression, déclarait que sa situation était normale. Cependant, sa famille, qui n’a pas eu de contact direct avec lui depuis plusieurs jours, a immédiatement dénoncé cette déclaration comme étant forcée. Sa mère a notamment souligné que le T-shirt qu’il portait dans la vidéo était le même que celui qu’il avait depuis samedi, jour de sa disparition. Un détail qui renforce les soupçons de manipulation.
Mais le véritable coup de théâtre est survenu peu après. DJOMENI Éric a réussi à contacter discrètement sa famille, un appel qui a été enregistré et dont nous détenons des extraits accablants. Dans cet échange, il confirme être détenu contre son gré depuis trois nuits chez Valentin KWAIN. Interrogé par son avocat sur les violences subies, il refuse de nommer son tortionnaire, affirmant ne pas être en sécurité. « J’ai seulement pris le téléphone pour vous parler », murmure-t-il, laissant transparaître une profonde détresse.
Ces révélations viennent confirmer ce que beaucoup soupçonnaient déjà : Valentin KWAIN, président d’OPPOPO, serait impliqué dans l’enlèvement, la séquestration et la torture de DJOMENI Éric. Le précédent démenti, diffusé sous forme de vidéo, n’avait convaincu personne, et ces nouveaux éléments ne font qu’accroître les interrogations sur les méthodes employées par KWAIN.
La famille de DJOMENI Éric, désormais accompagnée de son avocat, exige une intervention immédiate des autorités pour garantir sa sécurité et faire toute la lumière sur cette affaire. Les preuves s’accumulent, et la pression monte pour que justice soit rendue.
L’opinion publique, déjà choquée par les premiers éléments de cette affaire, attend désormais des réponses concrètes. Une question demeure : jusqu’où cette sombre histoire ira-t-elle avant que les responsables ne soient traduits en justice ?