Dans une déclaration publique récente, Mado Kerharo, personnalité politique et militante engagée au Cameroun, a partagé son expérience troublante suite à un entretien avec Ndocki Michèle Sonia Martine qui vient d’être exclu du MRC. Cette rencontre a révélé des tensions et des désaccords politiques au sein du pays.
Selon Mado Kerharo, après avoir eu un entretien avec le ministre Atanga Dji, Ndocki Michèle aurait tenté de la persuader de rejoindre leur mouvement de transition politique, mais sans la présence de Maurice Kamto, alléguant que ce dernier n'avait pas réellement remporté les élections. Une proposition qui a profondément troublé Mado Kerharo, qui a tenu à partager son inquiétude vis-à-vis de la situation.
"Ce jour-là, j'ai eu peur de cette femme qui a pris une balle… J'ai voulu te respecter jusqu'au bout, Michèle, mais tu ne respectes pas le peuple camerounais. Tu ne respectes pas le sacrifice de Olivier Bibou Nissack, Alain Fogue, Salomon Beas et tous ceux qui ont donné leur vie pour défendre les libertés", a déclaré Mado Kerharo, exprimant son désaccord avec les actions et les prises de position de Ndocki Michèle.
Suite à l'entretien avec Ndocki Michèle, Mado Kerharo a donné sa position, y exprimant sa colère et ses préoccupations. Cependant, elle a été surprise de constater que Ndocki Michèle avait déjà donné une interview mentionnant leur rencontre avec le ministre Atanga Dji, ce qui a suscité chez Mado Kerharo un sentiment de trahison et de méfiance envers cette dernière.
"Une fiancée éconduite et dont personne ne veut reprendre en mariage. Posez-vous de bonnes questions. Bref", a ajouté Mado Kerharo, faisant allusion à l'attitude de Ndocki Michèle après leur entretien.
Cette déclaration de Mado Kerharo jette une lumière crue sur les dissensions politiques qui peuvent exister au sein du pays. Les divergences d'opinion et les conflits d'intérêts semblent être monnaie courante dans le paysage politique camerounais, suscitant des débats et des tensions au sein de la population.
Cependant, il est important de noter que les déclarations de Mado Kerharo ne doivent pas être interprétées comme un reflet général de la situation politique au Cameroun. Elles expriment plutôt une perspective individuelle sur un événement spécifique.