Nous avons pu constater des événements à double sens. Le premier sens est que le scrutin se déroule dans une ambiance conviviale. Nous n’avons pas enregistré des incidents majeurs.

Les gens se sont rendus dans les bureaux de vote pour accomplir leur droit de vote. Deuxièmement, nous avons pu enregistrer quelques attitudes qui n’honorent pas le jeu démocratique c’est-à-dire le trafic d’influence qu’on a observé çà et là.

Les chefs traditionnels qui intimident les électeurs par au choix qui doit être le leur. C’est vraiment quelque chose de déplorable. Concernant l’absence des partis politiques dans la majorité des bureaux de vote, cela peut se justifier par deux déterminants.

LIRE AUSSI: Scrutin présidentiel: 7 morts enrégistrés à Bamenda ce dimanche

Le premier déterminant est d’ordre financier. Parce qu’il faut avoir le strict minimum pour les scrutateurs. Deuxièmement c’est la jeunesse de certains partis politiques à cet événement électoral.

Les partis politiques en lice n’ont pas le même poids. Boubakari Ndjidda, observateur national pour la Cameronian women for peaceful election.