Actualités of Monday, 3 June 2024

Source: www.camerounweb.com

Finie cette pagaille : les joueurs envoient un message clair à Samuel Eto'o

Dans quel camp se trouvent les joueurs ? Dans quel camp se trouvent les joueurs ?

La rude bataille qui oppose la Fecafoot avec son président Samuel Eto'o Fils et le ministère des Sports dirigé par Mouelle Kombi est maintenant trop importante. Beaucoup d'observateurs sont unanimes sur le fait de dire que cette affaire a dépassé le cadre sportif pour se retrouver dans celui politique.

Mais de quel côté se trouvent les joueurs ? Vous pouvez vous faire votre petite idée avec les explications suivantes basées sur la communication non verbale des principaux concernés : « Tout le monde a aux bords des lèvres le Minsep ou la Fecafoot. Mais personne ne se demande ce que veulent même les joueurs qui sont les principaux concernés et qui sont le cœur de la fédération car sans joueurs, il n'y a pas de Fecafoot.

Eh bien, en observant seulement leurs attitudes depuis hier au Hilton, on se rend à l'évidence que tous sont à l'aise avec Marc Brys et son staff. On a vu même hier l'arrivée en vidéo de Ngamaleu où il repousse carrément Benoit Angbwa de la Fecafoot. D'autres joueurs ont fait de même.

André Onana, à son arrivée, a juste jeté un petit regard vers eux et est passé en flèche comme s'il ne les a jamais vus de sa vie. Ce matin, en voyant les vidéos avec Marc Brys et son équipe, les gars sont en osmose et en symbiose totale et la bonne humeur est au rendez-vous avec des accolades dans tous les sens.

Même Vincent Aboubacar qui a été l'un des rares footeux à faire un post Facebook de soutien à Samuel Eto'o Fils est là et très à l'aise. Ça veut donc dire ce que ça veut dire : les joueurs ont choisi deux mêmes leur camp. Le camp de la sérénité. Le camp où ils se sentent à l'aise. Le camp du calme.

Posez-vous donc la question du pourquoi les Lions mêmes ne veulent plus voir en pâture Samuel Eto'o Fils et son camp. Car quand tout le monde est contre toi, c'est que c'est toi le problème », dit l'activiste Jorel Jacques Zang.