L’activiste Jorel Jacques se demande mais « franchement, dans quel pays sommes-nous à la fin ? Les aigris qui supportent Samuel Eto’o, j'ai vraiment beaucoup de pitié pour toi », concède-t-il.

Voilà donc Samuel Eto’o qui se permet tout le temps de mendier devant l'État du Cameroun des millions ou des milliards pour juste financer la distraction dans un pays où les impôts ne cessent de grimper pour le bas peuple.

Dernièrement ici, il demandait près de 2 milliards à l'État du Cameroun pour juste 2 matchs des Lions indomptables et aujourd'hui, il quémande encore pas moins du demi-milliard à l'État pour la distraction. C'est le même État dont il refuse l'ingérence dans le football.

C'est-à-dire tu passes le temps à mendier l'argent d'une personne morale, donnant donc davantage à cette personne morale de s'ingérer dans le football. S’il était sérieux, lui qui dit qu'il est venu changer les choses positives dans le football, il aurait déjà commencé par rendre la Fecafoot totalement autonome de l'État.

Lui qui se dit "milliardaire" et "patriote" aurait même au besoin injecté son argent dans la Fecafoot pour éviter d'être assujetti comme ses prédécesseurs à l'État du Cameroun qui décide toujours de financer à ses conditions à lui et non réellement en faveur de la Fecafoot, car chaque fois que l'État sort de l'argent, des conditions sont posées avec tous les conséquences que cela entraîne par la suite pour le ou les bénéficiaires.

Depuis son arrivée à la Fecafoot, notre État a déjà déboursé combien de milliards ? Car à la moindre chose, il écrit à l'État pour quémander l'argent ? Et cela vous étonne que l'État le malmène et le ridiculise à chaque fois comme un enfant ? C'est celui qui a l'argent qui a le pouvoir et quand tu montres trop à une personne que son argent t'est indispensable, attends-toi à supporter le retour.

Cet homme n'a tout simplement pas de personnalité car s'il en avait il aurait déjà autonomisé la Fecafoot pour que son nom reste gravé dans l'histoire du football comme celui qui a fait de la Fecafoot une institution souveraine. Au-delà, c'est de la méchanceté vis-à-vis du bas peuple. Il demande des sommes astronomiques à l'État, c'est pour que qui paye ces sommes par la suite ? Le bas peuple évidemment (…)

Non, Eto’o n'aime pas le Cameroun. Il n'aime pas les Camerounais. Il s'aime lui et lui seul à l'image de la dictature du pays. C'est la raison pour laquelle je serais toujours un détracteur et fier.