• La localité de Galim est secouée par la mort suspecte d’une élève
• Elle a consommé un morceau de pain offert par une camarade
• Un coiffeur est placé en garde à vue
La nouvelle de mort de la petite Miranda Fabove, élève en classe de CM2 à Galim (région de l’Ouest) revient dans tous les débats dans la petite localité. Et pour cause, les circonstances du décès de cette dernière restent floues. La petite Miranda qui était en parfaite santé le vendredi est rentrée à la maison avec des maux de ventre. Selon ses explications, elle aurait consommé du pain offert par sa camarade. Elle précise également que le pain a été acheté par le coiffeur Alexandre.
« Le vendredi, j'ai amené ma petite sœur à l'école. Elle n'avait rien. Elle n'était pas malade. Je suis conducteur de taxi-moto. C'est au retour du travail que j'ai trouvé ma petite sœur en train de pleurer. Interrogée, elle dit que c'est Alexandre le coiffeur qui a donné le pain à sa camarade qui lui a donné un morceau », indique le frère de la victime.
Quelques instants après avoir développé ces malaises. La petite rend l’âme. L’autopsie réalisée n’indique aucune trace de substance nocive dans le corps de celle-ci. Miranda n’a donc pas été empoisonnée. La thèse de l’empoisonnement écartée, les proches de la victime exploitent la piste d’un envoutement. En effet selon les témoignages de Miranda avant sa mort, elle se plaignait de voir le même coiffeur Alexandre en rêve entrain de l’étrangler avec une chaine.
Miranda n’est pas la seule victime de la consommation du fameux pain. Sa copine à qui le coiffeur a offert le pain en premier est également alitée et se retrouve dans un état critique. Selon ses parents elle a perdu la vue durant son hospitalisation.
Pour les besoins de l’enquête, le coiffeur Alexandre a été placé en garde-à-vue. Selon les informations, la petite actuellement hospitalisée était allée se coiffer chez Alexandre. Ce dernier a souhaité utiliser la batterie d’une moto pour coiffer l’élève qui s’y oppose et réclame le remboursement de son argent. Alexandre refuse de lui rendre l’argent dans un premier temps avant d’alléguer qu’il n’a pas de monnaie. Il amène la fille chez le boutiquier et lui paie le pain en question.