• C'est une opinion du journaliste Élie Baho
• Pour lui, Nalova Lyonga et Serge Etoundi Ngoa sont nocifs pour le système éducatif camerounais
• Il souligne que ces ministres veulent nuire à Paul Biya
Réagissant par rapport à la grève des enseignants du secondaire et primaire au Cameroun, le journaliste Élie Baho, dans un ton très acerbe, affirme que Nalova Lyonga, ministre de l'éducation secondaire et Serge Etoundi Ngoa, ministre de l'éducation de base sont un danger pour le système éducatif camerounais. Il défend sa thèse en indiquant que ces membres du gouvernement affectent des "enseignants sur le terrain dans un registre de corruption trop poussée, sans s'assurer que leurs salaires passent déjà". Il ajoute par ailleurs que certains enseignants du Primaire et du Secondaire sont en fonction depuis 27 ans pour certains cas et 02 ans pour d'autres, sans salaires.
Élie Baho va très loin en soutenant que ces deux autorités travaillent pour des loges dans le but de semer le chaos, nuire, souffrir et faire souffrir.
camerounweb.com vous propose ci-dessous l'intégralité de son texte
<< Il s'agit du Professeur Laurent Serge Etoundi Ngoa, Ministre de l'Education de Base et du Professeur Nolova Lyonga, Ministre des Enseignants Secondaires.
Ces deux lugubres personnalités sèment le chaos partout où ils passent. Comment comprendre que ces deux Ministres affectent des Enseignants sur le terrain dans un registre de corruption trop poussée, sans s'assurer que leurs salaires passent déjà.
Une volonté de nuire le pouvoir de Paul Biya avec la complicité des membres des loges qui Gouvernent le Cameroun de ✋ mains de sang versé.
Certains Enseignants du Primaire et du Secondaire sont en fonction depuis 27 ans pour certains cas et 02 ans pour d'autres, sans salaires.
Le principe pour ces satanistes en charge des questions de l'Education au Cameroun, c'est de souffrir et de faire souffrir.
On comprend très évidemment pourquoi les les prises en charge salariales des Enseignants n'entrent pas dans leurs priorités.
Lorsque la greve est lancée, tous croient être surpris. Et pourtant, la menace de grève se faisait déjà ressentir.
Pour résoudre ce problème, les syndicalistes, les services de renseignements et la Presse ont été corrompus.
Aucun fonctionnaire soupçonné de bloquer le processus de payements de ces Enseignants n'a été inquiété.
Tous couverts par la mafia étatique. Et fin de compte, c'est l'image du Cameroun qui est traînée dans la boue.
Pauvres Enseignants du Cameroun.
Affaire à suivre...>>
Élie Baho, Journaliste d'investigations