Le secteur de la santé représente un défi immense pour chaque pays africain, le Cameroun n’étant pas exclu. Le gouvernement présidé par Paul Biya essaie comme il le peut de construire certaines infrastructures et de réhabiliter d’autres. Tout n’est pas blanc néanmoins. Une dernière réalisation à Douala séduit particulièrement l’activiste qui se fait appeler Shance Lion.
L’amélioration permanente de la qualité des soins et services de santé au Cameroun, un combat de tous les instants pour le président Paul Biya sous la houlette du ministre de la Santé, le Dr Malachie Manaouda.
En présidant personnellement ce vendredi 29 septembre 2023 à l’hôpital Laquintinie de Douala, la cérémonie d’ouverture des tous nouveaux services de néphrologie d’une part et centre d’hémodialyse d’autre part, le ministre de la Santé publique, le Dr Malachie Manaouda, conforte l’opinion publique nationale et internationale sur la détermination pour l’État du Cameroun, d’offrir à tous les patients, des soins et services de santé toujours améliorés.
C’est en effet en présence de tout l’aéropage traditionnel, politique, et administratif de la région du Littoral que le Dr Malachie Manaouda a présidé la mise en service des bâtiments flambants neufs entièrement équipés d’appareil de pointe. De nouvelles acquisitions à la pointe de la technologie et avec un personnel bien formé, qui viennent indéniablement contribuer à relever une fois encore la qualité du plateau technique médical camerounais.
Par ailleurs, il convient de souligner que ce service de néphrologie tout neuf et le centre d’hémodialyse qui ne l’est pas moins, sont une contribution significative du gouvernement camerounais dans la gestion des « grands malades », souffrant de maladies rénales diverses.
Car, avec ce nouveau geste, l’État du Cameroun réduira considérablement le nombre de patients atteints de pathologies rénales graves devant subir des hémodialyses, et obligés d’aller se faire suivre hors du pays. À titre de rappel, un service de néphrologie et un centre d’hémodialyse sont deux structures qui se complètent précieusement, au cœur de la prise en charge et notamment de la prévention, des diagnostics, et du protocole de soins curatifs mis en route contre toutes les maladies rénales.
Actuellement sur le territoire camerounais, une cinquantaine de générateurs de dialyse neufs sont opérationnels et plusieurs salles de traitement d’eau ont également été aménagées. Par ailleurs, notons que très récemment, à l’instar de l’hôpital Laquintinie de Douala ce jour, avec ses 22 générateurs à système ouvert à l’utilisation d’autres kits dont 12 déjà fonctionnels, les villes de Ngaoundéré et de Kousséri ont bénéficié de centres d’hémodialyse nouvellement construits et entièrement équipés, soulageant une forte majorité de patients obligés de faire la route vers le Sud du pays mieux équipé, en quête de soins.