Actualités of Friday, 12 May 2023

Source: www.camerounweb.com

Grosse panique : le RDPC au bord de l'implosion, Paul Biya dans la tourmente obligé d'agir et 'couper' les têtes

Rien n’est fortuit. Rien n’est fortuit.

Les lignes bougent au parti au pouvoir, le RDPC. D'ailleurs, la revue de presse de Ben Batana en fait une grande ouverture. En effet selon le confrère, les réseaux sociaux distillent les informations les plus confidentielles au grand dam des professionnels de la communication. Mettant ainsi en mal la cohésion gouvernementale. Les sources partent du plus haut sommet de l’Etat. Inquiétant. Au sein du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais RDPC au pouvoir à Yaoundé, on recolle les morceaux.

Plus concrètement les médias, faisant allusion aux Palais d’Etoudi qui abrite la présidence du pays et l’Activisme des réseaux sociaux le journal Le point Hebdo parle de «Le Tohu-Bohu...».

En clair, les réseaux sociaux prennent le pouvoir et aussi une nouvelle forme de guéguerre prospère ces derniers temps, il s’agit des activistes des réseaux sociaux, autoproclamés lanceurs d’alerte, qui distillent dans l’opinion, un mauvais parfum mettant en scène de hautes personnalités de la République. La manœuvre est bien outillée d'après Ben Batana dans sa revue de presse. Et c’est le petit peuple qui trinque à cette manipulation savamment orchestrée.

Cependant que dans le RDPC à la capitale Yaoundé, les militants ont signé «La paix des braves » indique le confrère. InfoMatin, un quotidien paraissant à la capitale révèle que Le secrétaire général du Comité central du Rdpc, au pouvoir, Jean Nkuété, assisté de son adjoint, Grégoire Owona, a réuni, ce 10 mai, au siège du parti, autour d’une table, ‘’ Super ‘’ maire et ses ‘’ 7 frères très ennemis ‘’ de la capitale, également camarades.

Cette réunion est aussi importante car à quelques mois de la tenue d’importantes élections, notamment la présidentielle, il était question de mettre, au nom de l’intérêt supérieur du parti, à défaut d’un terme, une pause à la guerre que l’on observe, depuis un moment, entre le maire de la ville, Luc Messi Atangana, et les 7 maires d’arrondissement, tous par ailleurs, présidents de section.