Boris Bertolt activiste très connu au Cameroun répond à tous ceux qui l’accusent de faire parte des auteurs des violences en zone anglophone.
Ci-dessous sa réponse aux attaques
Voilà des gens qui viennent sur mon mur parce que je relaie les violences dans la zone anglophone ils prétendent que je fais partie des auteurs des violences. Bande de sorciers. C’est moi qui tire? C’est moi qui envoie les troupes? C’est moi qui entraîne les gens au Nigeria? C’est moi qui achète les motos? C’est moi qui refuse de dialoguer? C’est moi qui arrête les gens et enferme à Yaoundé? C’est moi qui aie envoyé en 2016 les gendarmes tapé sur les avocats anglophones? C’est qui a demandé aux policiers de violer les étudiants de l’université de Buea? C’est moi qui ai ordonné l’arrestation des leaders modérés Agbor et Fontem? C’est moi qui ai négocié l’extradition de Ayuk et compagnie au Cameroun? Vous êtes simplement fous.
En réalité vous refusez par peur de vous attaquer au vrai problème. Celui de la Mal gouvernance, la corruption, le népotisme, le mépris. Voilà les racines de la crise anglophone. Vous êtes tellement esclaves de Biya que vous cherchez des boucs émissaires. Allez-vous faire foutre. Cette guerre, Paul Biya ne la mène pas en mon nom. NOT IN MY NANE. Car tout le monde sait que c’est lui le problème. Même dans son entourage. Donc si vous venez ici lui trouver des boucs émissaires je vous bloque sans état d’âme.
Mon travail C’est de reporter ce qui s’y passe. Et je publie ici les informations des deux camps Pour que vous voyiez de vos yeux ce que 35 ans de mal gouvernance et d’arrogance peuvent causer à un pays. C’est un travail pour la postérité. Tout ce pays a soutenu la guerre contre Boko Haram. Le peuple l’a même financé. Cette guerre c’est une salle guerre. Car les Anglophones sont nos frères. NOT IN MY NAME.