Sentant la fin de règne arrivée et ne connaissant pas l’issue, la première dame Chantal BIYA décide de protéger sa fille par une histoire rocambolesque: Faire obtenir la protection internationale d’abord à son unique fille.
Il fallait donc imaginer un scénario depuis près de 8 mois et l’histoire que nous vivons n’est que le fruit d'une ingénierie ou la pensée d’une personne connaissant bien le schéma d’obtention de la protection internationale d’après la convention de Genève.
- Il fallait démontrer que Brenda Biya est lesbienne depuis l’âge de la puberté ( l’âge de 16 ans ) . Ce qui est faux vu que moins d’une année, elle avait un copain garçon.
- Démontrer à la découverte de son orientation sexuelle, elle va se retrouver isolée. Elle subira un rejet de sa famille. Dans l’interview elle parle de la position de son frère ( lequel? ) qui etait en colère. De la position de ses parents qui ne connaissaient pas son orientation. Paul Biya a des services de renseignements très forts… Donc c’est l’orientation sexuelle de sa fille qu’on n’a pas pu lui donner ? Ce qui est faux.
- Il fallait démontrer que les 3 degrés de sécurité ne sont plus garantis pour elle. Le degré familiale avec le rejet de son frère et ses parents. Le rejet social avec les organisations homophobes et les injures reçues. Enfin le rejet étatique. Voilà pourquoi elle dit que l’article 347 existe avant l’arrivée de son père au pouvoir et qu'elle risque la prison, vu qu’elle ne peut plus s’empêcher de vivre librement sa sexualité.
- Pour éviter la protection subsidiaire et rechercher le statut de réfugié politique, Brenda BIYA ajoute une couche de militantisme en se positionnant comme nouvelle ambassadrice LGBTQIA+ et en demandant que la loi change.
- D’où peut provenir une telle intelligence à Brenda BIYA de répondre à de telles questions avec maestria si ce n’est des questions préparées.
- Maintenant on voit des lanceurs d’alerte comme Boris Bertolt dire que le Minat Atanga Nji qui a été incapable d'ouvrir son clapet devant Kalhifa a dit qu’il va arrêter Brenda si elle met les pieds au Cameroun.
- Gaëlle Enganaouit n’a jamais été arrêtée et c’est Brenda Biya qui le sera dans le Cameroun de Paul BIYA ? Mensonge d’état . Boris Bertolt quand on t'envoie il faut souvent user de subtiliter et respecter l'intelligence des Camerounais.
Nous devons comprendre que quelque chose se prépare et le président n’est plus apte à diriger le pays. L'une des preuves c'est d'ailleurs cette bataille de succession entre Fc Task-force (Ferdinand Ngoh Ngoh?, Fc Ligne 94 (Motaze, Laurent Esso, etc) et Fc Dimako (Oswald BABOKE, Chantal BIYA, ETO'O Fils etc).
Si Brenda BIYA obtient ce statut de réfugié politique, elle sera intouchable ainsi que tout l’argent qui est dans ses comptes. Elle pourra, 06 mois après, demander la nationalité du pays qui lui accordera la protection.
On ne peut pas se foutre de l’intelligence des Camerounais que les parents de Brenda ont deplumés depuis 42 ans et voler leur argent. La famille BIYA pense ainsi sécuriser leurs progénitures.
Brenda ne doit pas obtenir son statut de réfugié, sa vie n’est pas en danger au Cameroun 🇨🇲. On contraire elle se la coule douce au pays comme bon lui semble en narguant le peuple qui tire le diable par la queue.