YOKI ONANA, membre du comité exécutif de la FECAFOOT répond à Boris Bertolt. Il ne nie la brouille annoncée entre lui et le président de la Fédération camerounaise de football. Selon l’élu local, Boris Bertolt aveuglé par sa haine envers Eto’o, viole les règles élémentaires du journalisme.
J'ai lu avec beaucoup d'étonnement et d'amusement, votre tirade publiée hier sur les réseaux sociaux et intitulée « LA GUERRE DECLENCHEE ENTRESAMUEL ETO'O
ET YOKI ONANA, MEMBRE DU COMITE EXECUTIF»
Ce texte , si je peux vous faire l'humeur de le nommer ainsi, se veut un ramassis d'incongruités dont vous seul connaissez les tenants et les aboutissants. Vous parlez d'une brouille entre les deux amis» qui serait née « il y a quelques semaines » du fait« d'un manque de loyauté » qui me serait reproché par le président de la Fédération Camerounaise de Football, Samuel ETO'O Fils, pour la simple raison que j'aurai refusé de l'accompagner dans sa décision de se séparer de Mme Celine EKO, actuellement 1ère vice-présidente de la FECAFOOT. Devrais-je vous rappeler qu'en ma qualité de membre du Comité exécutif de la Fédération Camerounaise de Football du aux termes de l'Assemblée générale du 11 décembre 2021. C'est à ce titre que le 29 août dernier, j'ai été désigné par le président Samuel ETO'O Fils, à la tête de la très importante Commission du statut du joueur, installé dans mes nouvelles le 17 octobre 2022, au même titre que les autres responsables de Commissions par le président Samuel ETO'O Fils.
A titre de rappel, j'occupe, bien avant mon entrée au Comité exécutif de la FECAFOOT, les fonctions de président de la Ligue départementale de football du MFOUNDI. Contrairement à ce qui est écrit dans votre « texte », je n'ai jamais été président de la Ligue régionale de football du Centre comme vous le prétendez malheureusement. Le crime n'étant jamais parfait. Aucune démarche journalistique n'ayant du reste été menée de
votre part.
La haine qui transpire de votre «texte »n'a d'égale que celle que vous vouez à
Samuel ETO'O Fils depuis son arrivée à la tête de la Fédération Camerounaise de Football (FECAFOOT) pour des raisons que vous êtes le seul à connaître. Vous êtes vraisemblablement de l'ordre ancien qui avait espéré voir la FECAFOOT, et partant le football camerounais, continuer de sombrer comme on l'a observé avant l'avènement de l'actuelle équipe managériale. Nous nous sommes inscrits dans une nouvelle dynamique, celle qui entend voir le football camerounais retrouver ses lettres de noblesse. Celle qui entend désormais voir les acteurs du football camerounais vivre de leur art. On peut comprendre que cela fasse mal à quelques nostalgiques. Mais Samuel ETO'O Fils, comme du reste l'ensemble de l'équipe qui l'entoure fait partie de cette jeunesse à qui le président de la République, S.E Paul Biya demande d'oser ». Continuez d'agir pour les esprits malveillants tapis dans l'ombre. La FECAFOOT avance. Le football camerounais avec.