Une déclaration de Nkou Mvondo lors de l'émission "CANAL PRESSE" sur Canal 2 International a suscité de vives réactions dans les milieux politiques camerounais. Nkou Mvondo a discrédité les ambitions présidentielles de Célestin Djamen en remettant en question ses capacités pour accéder à la présidence de la République.

Lors de l'émission, Nkou Mvondo a directement interpellé Célestin Djamen en demandant si ce dernier ressemblait à un futur président de la République. Il a ensuite affirmé que Célestin Djamen n'avait ni les moyens démographiques ni les moyens matériels pour briguer le poste de président.

Cette déclaration a provoqué de vives réactions, car elle semble être une critique directe et personnelle envers Célestin Djamen, un homme politique connu pour ses prises de position courageuses et ses ambitions présidentielles affichées.

La remarque de Nkou Mvondo soulève des interrogations sur la légitimité de critiquer les ambitions politiques des individus en fonction de leur apparence ou de leur statut économique. Les capacités d'un candidat à la présidence devraient être évaluées sur la base de ses compétences, de ses idées et de son programme politique, plutôt que sur des critères subjectifs et personnels.

Cependant, cette déclaration controversée reflète également les tensions et les rivalités qui peuvent exister au sein de la scène politique camerounaise. Les débats politiques peuvent souvent devenir acrimonieux et personnels, ce qui peut affecter la qualité du dialogue démocratique et nuire à l'intégrité du processus électoral.

Face à cette controverse, il est important de rappeler que l'engagement politique devrait être basé sur des idées, des programmes et des valeurs plutôt que sur des attaques personnelles. Les citoyens camerounais ont le droit de choisir leurs dirigeants en fonction de leurs compétences, de leur intégrité et de leur engagement envers le bien-être du pays.