«Moi j’accepte que le Pr Maurice Kamto est mon maître !!! je ne suis pas comme les kamtalibans qui refusent que le Pr Joseph_owona est le maître du Pr Kamto ou que le Pr Augustin Kontchou l’est aussi. Il faut toujours payer ses dettes hein chers kamtalibans !!!», a récemment tweeté le Pr Mathias Eric Owona Nguini. De cette polémique, Arlette Framboise Doumbe soutien indéfectible de Maurice Kamto vient d’achever Mathias Eric Owona Nguini



L'art de l'exaltation du futile.

Mathias Éric Owona Nguini, alias Meon, dit qu'il accepte que le Pr Maurice Kamto est son maître et souhaite dans la foulée faire accepter que son père est le maître de Maurice Kamto.

C'est bien. Si tout cela pouvait goudronner la route Kousseri - Maroua, on serait tous très heureux.

Malheureusement cette route en piteux état fait souffrir les populations du septentrion et freine le développement à cause de l'incompétence du régime que Meon soutient.

C'est pourquoi il serait préférable que Meon accepte plutôt qu'il à fait l'erreur de soutenir un tel régime qui brille par ailleurs par la régression des libertés et l'exacerbation du tribalisme d'Etat ( voir le lien qui apporte la lumière sur le tribalisme d'Etat au bas de la page). Au moins cela peut aider ses suiveurs à prendre conscience de ce que le seul vrai combat qui peut redonner l'espoir des meilleurs lendemains au Cameroun aujourd'hui c'est le combat pour la fin du système Biya. Un système qui à donné au pays deux trophées indésirables de champion des pays les plus corrompus du monde.

Imaginez que vous attendez de l'eau potable, de l'électricité de qualité pour booster vos activités économiques où pour étudier vos leçons. Mais on vous donne deux trophées indésirables de pays le corrompu au monde. C'est décoiffant non ?

Au lieu de réfléchir à tout cela et à toutes ces choses qui tirent le Cameroun vers l'arrière à l'instar de l'absence de démocratie, la mal gouvernance, les injustices ou le tribalisme d'Etat , un universitaire oisif veut faire la seule chose qu'il n'a de cesse de faire : La distraction et l'exaltation du futile. A un moment il faut que tout cela s'arrête

AFDD