Le 'je vais faire comment' continue de tuer les femmes au foyer. Il est plus prudent et sage de mettre les voiles quand la violence conjugale s'invite à l'affaire. Malheureusement, plusieurs femmes prennent pour excuse le fait d'avoir des enfants avec le mari et préfèrent rester, même si elles sont battues.
Il y a quelques jours, nous abordions la situation de la femme battue par le notable de Baleng. Cette dernière, tabassée et coupée à la machette, demande pardon à son mari.
« L'erreur est humaine, c'est le père de mes enfants, je vais faire comment ? », l'entend-on dire dans une vidéo publiée par le lanceur d'alerte N'zui Manto.
Un notable travaille sa femme à l'aide d'une machette bien aiguisée
Nouvelle situation de violences conjugales. Cette fois-ci, c’est un proche du chef qui est impliqué. Il s’agit d’un notable Baleng.
Il a découpé sa femme à la machette. Ndiè Alexis dit Wembe Defo Tagne Takoutseing Tchoup est un charlatan de profession.
Il est notable à la cour Baleng. Ce dernier a utilisé une machette pour attaquer violemment son épouse. Celle-ci s’appelle Édith Tamaffo.
Le mari a commis l’acte en présence de sa mère et ses deux sœurs. « La légende autour du funeste personnage est d’une sombritude inégalable. Ses agissements barbares lui permettraient d'asseoir son pouvoir occulte », dénonce le lanceur d’alerte N’zui Manto.
La source évoque également que » ses 33 ex-femmes ayant déserté en ont vu de toutes les couleurs mais préfèrent le silence avec leurs 60 enfants. La victime attaquée à la machette se trouve dans un état comateux à l’hôpital régional de Bafoussam ».