La Fédération Camerounaise de Volleyball (Fecavolley) a vigoureusement nié les accusations d’abus sexuels portées contre certains de ses membres, qui impliqueraient l’abus de joueuses mineures. Ces allégations, circulant largement sur les réseaux sociaux, suggèrent que des employés de la fédération auraient mis enceintes plusieurs joueuses de moins de 18 ans.
Dans un communiqué officiel signé par Christian Tchapmi, responsable de la communication de la Fecavolley, la fédération a exprimé sa profonde indignation face à ces accusations. En réponse, la Fecavolley a déposé une plainte auprès des autorités compétentes pour faire toute la lumière sur ces graves allégations. La fédération a également encouragé les victimes et les témoins à se manifester de manière anonyme au siège de la Fecavolley à Yaoundé pour rapporter tout incident.
Le communiqué dénonce fermement ceux qui, au Cameroun comme à l’étranger, utilisent les réseaux sociaux pour ternir sans preuves la réputation de la fédération et l'intégrité de ses dirigeants. La Fecavolley a souligné qu’elle ne se laisserait pas intimider par des tentatives d’extorsion et qu’elle ne céderait pas à la pression médiatique.