Actualités of Monday, 31 January 2022

Source: www.camerounweb.com

Kribi : un élève se donne la mort

RIP RIP

Le jeune Fifen Ousseni n’est plus

Il est dans le domicile de ses parents

Il promettait de se donner la mort

La nouvelle est tombée comme un couperet dans la cité balnéaire de Kribi. Le jeune Fifen Ousseni élève de terminale au lycée bilingue de Kribi a été trouvé mort au domicile de ses parents. Selon plusieurs témoins rencontrés sur les lieux, le jeune Fifen Ousseni ne présentait aucun antécédent de maladie, d’après les témoignages de sa famille. La veille de sa mort, les témoins affirment avoir lu sur son statut watsapp les paroles suivantes : « Je peux déjà mourir en paix ; quelqu’un a-t-il du poison ? ». C’est donc cette phrase qui déclenche les analyses de tous ordres dans la cité balnéaire.

D’aucuns parlent de portemonnaie magique, justifiant que le jeune homme menait plutôt une vie de princier à l’école, pendant que ses parents (commerçants) sont soumis à des revenus modestes. « D’où lui vient tout cet argent ? ». s’interrogent-ils. D’autres parlent plutôt de problèmes personnels, liés à des déceptions amoureuses, d’autant plus qu’il avait une camarade en Tle A4 espagnole enceinte de lui. Pour l’heure, la famille du jeune OUSSEINI reste inconsolable et la ville de Kribi dans l’émoi. La communauté éducative est une fois de plus interpellée sur ce drame qui montre davantage de failles dans le système éducatif camerounais.

La ville de Kribi est particulièrement pointée du doigt par les ONG qui l’accusent de pratiquer la dépravation des mœurs. On se souvient qu’à plusieurs reprises l’on a enregistré plusieurs cas de décès dans la ville de Kribi à cause de l’indélicatesse des responsables de cette ville.
En plus des morts qui relèvent de l’extraordinaire, la ville de Kribi est aussi accusée pratiquer des pratiques hors du commun notamment le portemonnaie magique. Cette pratique qui consiste pour les plus jeunes de souscrire à cette application afin de se procurer des milliers et des milliers de sommes d’argent sous le regard impuissant de la famille.