Le Cameroun est officiellement connu pour être un pays qui n’autorise pas du tout les pratiques homosexuelles. Les personnes qui les ont essayées ont goûté à la dureté de la loi en vigueur, parfois aux risques et périls de leur vie.

Alors grande peut être la surprise de tout le monde quand ils apprendront qu’une école qui est en train d’être construite dans la capitale politique a tout pour ressembler à un endroit de promotion des droits LGBT+.

C’est précisément à Odza qui est un quartier situé dans l'arrondissement de Yaoundé IV à Yaoundé.

« Construction en cours d'une école maternelle aux couleurs du drapeau des homosexuels au quartier Odza (entrée Fecafoot) », écrit Shance Lion.

Le lanceur d’alerte ajoute que « je vous laisse déjà imaginer ce qui va être enseigné à vos enfants là-bas. Par tous les moyens, ils veulent imposer cette chose aux Camerounais, désormais c'est à nos enfants qu'ils veulent l'inculquer ».



Mal aimé au Cameroun, voici la nouvelle vie de Shakiro en Belgique

Le controversé transgenre camerounais Shakiro a attiré les caméras de TV5 Monde sur lui il y a quelques jours. L’ancien détenu se trouve maintenant en Belgique, là où il se sent déjà à l’aise comme un poisson dans l’eau.

« Au Cameroun, la justice pénalise la "tentative d'homosexualité" encourageant le rejet des personnes LGBTQI+ souvent victimes de violences homophobes et transphobes allant jusqu'au lynchage. Shakiro en a été victime. Elle a trouvé refuge en Belgique qui lui a délivré un visa humanitaire », a introduit le média susmentionné.

Dans le reportage passé à la télé et publié sur les réseaux sociaux, on peut entendre Shakiro dire qu’il se sent dans son rôle féminin et que depuis toujours, il a toujours su que c’était une femme cachée dans sa peau d’un homme.

« En effet, Shakiro a reçu son visa humanitaire depuis la Belgique et passe au journal de TV5 Monde », comme l’écrit Ambianceur237.

La réalité est qu’ayant « compris qu'au Cameroun, cette pratique de l'homosexualité est inadmissible, intolérable et même illégale, "la femme dans la peau d'un homme" comme elle aime se définir a finalement trouvé refuge en Belgique en passant par le Nigeria où elle est restée cachée pendant un bon bout de temps ».

« Désormais installée en Belgique, Shakiro entend suivre des cours de droit pour devenir une avocate afin de défendre plus tard toutes ces personnes victimes du rejet et du lynchage dus à leurs différences de genre », écrit la source camerounaise.