Il y a quelques années, des accusations graves avaient été formulées contre la Chine, dont les entreprises, certainement en connivence avec les politiques, auraient placé des dispositifs d'écoute et d'espionnage au siège de l'Union Africaine.

Ce siège flambant neuf de qu'avait gracieusement offert la Chine à l'Afrique était donc bourré d'installations qui permettaient d'écouter tout ce que disaient les dirigeants et diplomates africains.

Au Cameroun, un nouveau siège de l'Assemblée nationale offert par la Chine, a été récemment inauguré. A peine livré aux autorités, le nouveau siège fait déjà l'objet de révélations, non pas des autorités, mais des leaders d'opinion.

"Dans chaque coin et recoin de ce nouvel hémicycle camerounais se trouvent sans aucun doute plusieurs micros d'espionnage, installés honteusement par des ingénieurs au service du Parti Communiste Chinois. Ils l'ont fait au niveau du Parlement de l'Union Africaine. Ils ne se sont certainement pas gênés au Cameroun", écrit l'activiste politique Franze Krause dans une publication sur les réseaux sociaux.