Pour l'activiste Jorel Jacques Zang, il ne faut pas que les soutiens de Samuel Eto'o pensent qu'avec la nomination d'un nouveau staff des Lions par le président de la Fécafoot, met fin au bras de fer dans lequel il est engagé avec l'Etat. Ils pourront être surpris.

Dans une tribune, il explique que le ministère des Sports a le dernier mot.


"Juste pour vous informer de ceci: la Fécafoot fait sa proposition et le ministère valide ou non cette proposition.

Concrètement ça voudrait dire que la liste de la Fécafoot est une liste de "proposition" qui ne peut être officielle que si et seulement si Mouelle Kombi décide de la valider car en définitive c'est lui qui a le dernier mot.

Étant donné que cet Espagnol de la Fécafoot connait exactement ses limites face à plus grand que lui il est donc intelligent de savoir qu'il peut essayer de négocier une porte de sortie pour "installer ses gens".

Et donc sachant parfaitement que Marc Brys est intouchable (c'est lui surtout le gros poisson qu'il ne voulait pas) il essaie donc de ne pas sortir perdant sur toute la ligne étant donné même que la Fifa n'a pas voulue s'en mêler donnant donc raison au gouvernement.

- Ce qui est sûr et certain c'est que le gros challenge qui était d'évincer le nouvel entraîneur est un échec total de la part de la Fécafoot.

Donc la Fécafoot est réduite à implorer une négociation avec Moelle Kombi qui en définitive a le dernier mot et qui peut accepter cette proposition de la Fécafoot ou non.

Si le gouvernement refuse alors la Fécafoot perd À tous les niveaux.
De toutes les façons Marc Brys est là et demeure le seul et unique entraîneur et il a été parfaitement clair sur le fait qu'il ne voulait pas d'intrusion.

Donc lui dans la tanière cet Espagnol et sa clique vont se mettre au pas".