Après les déboires judiciaires de Noureddin Bongo suite au coup d'État ayant balayé son père, Ali Bongo, qu'il entendait succéder à la tête du GABON, où est passé le mouvement Frankiste alors que 2025 c'est Maintenant ?
Le patron putatif du Mouvement Franckiste, Franck Emmanuel BIYA , qui depuis quelques mois déjà se mobilisait ou laissait mobiliser pour le scrutin présidentiel de 2025, et n'a finalement été refroidi que par le coup d'État survenu au Gabon, et notamment par l'arrestation spectaculaire et l'inculpation de Noureddin Bongo, le fils d'Ali Bongo, doit au moins payer ses dettes pour prétendre diriger le Cameroun.
Sa société, Ingenieurie Financière, a organisé sa liquidation en avril 2017. Elle l'a fait avec de nombreuses complicités, connues et qui très bientôt seront dévoilées, pour fuir ses nombreux créanciers qu'elle avait abusé, en usant des protections que confèrent au Cameroun le patronyme du président de la république et le lien de sang avec lui.
Outres les personnes physiques et les entreprises victimes du trafic d'influence de la société de ce fils qui rêvait bruillament de succéder à son père à la tête du pays sans arguments politiques, académiques, professionnels ni moraux, plusieurs communes de certaines régions les plus pauvres du pays ont fait les frais de ses frasques.
C'est le cas notamment de la commune de Yokadouma , département de Boumba et Ngoko, région de l'Est dont on sait qu'elle est l'une des plus démunies du pays, qui, malgré de multiples relances et les supplications n'a jamais pu encaisser près de d'un milliard de francs CFA de taxes foncières.
Ainsi, alors que le " prospère homme d'affaires " FRANCK EMMANUEL BIYA dépensait cette argent à Monaco, les pauvres populations de Yokadouma croupissaient dans la misère sous le regard indifférent de l'administration fiscale et de la justice.
Dans les semaines et mois qui arrivent, une série spéciale sera consacrée à cet ovni politique aux parcours sociale et professionnel peu honorables que le clan Biya veut imposer aux Camerounais afin de ne pas perdre la main sur le contrôle kleptocratique du pays.
Ce projet de succession héréditaire à la tête du Cameroun est un engagement secret pris auprès de ce clan familial mafieux par l'affairiste Jean Yves LE DRYAN, ancien ministre des affaires étrangères français. Lui qui, porté par ses magouilles en terre africaine, a ruiné toute la politique africaine de Macron.
Notamment au Tchad où il a amené son pays, la France, à imposer arrogamment MAHAMAT DEBY, le fils de Idriss, au pouvoir, en totale violation flagrante de la constitution. La crise profonde que connaît la politique africaine de la France en Afrique francophone aujourd'hui n'en ai, en réalité, que la conséquence.