Ils sont selon nos informations, 5 membres du gouvernement, qui ont audacieusement pris sur eux d'adresser de façon individuelle, des correspondances au président de la République à l'effet de plaider auprès de ce dernier, pour la libération de Amougou Belinga. Il s'agit bien entendu des ministres Laurent Esso, Dion Ngute par extraordinaire Premier ministre, Mvondo Ayolo directeur du Cabinet Cvil, Louis Paul Motaze qu'on ne présente plus, Ismaël Bidoung Mpkat alias "mini papam". Dans leurs différentes missives, ces membres de l'association de m@lfaiteurs évoquent plusieurs raisons. Amougou Belinga est présenté ainsi par cette horde de flibustiers comme un acteur principal pour la campagne du président Paul Biya en 2025 -ce dernier étant lui-même invalide. Sa chaîne de télévision Vision 4 est brandie par ces ch@rlatans et oiseaux de mauvaise augure ; comme l'un des meilleurs médias qui a toujours soutenu le régime Rdpc-Biya. Pour Mvondo Ayolo, dans sa lettre, le ministre le plus voyou du règne des "grandes opportunités" ; fait savoir carrément au chef de l'État, que, la libération du Zomlo'o se passera sans conséquence, car il n'y aura aucune réaction du peuple. Voilà à quoi renvoie le régime Biya. 42 ans d'inertie, de manipulation, de vol et détournements de deniers publics. 42 ans de pillages où les mêmes personnes pensent avoir le droit de vie et de mort sur les pauvres populations et ceci en toute impunité. C'est dommage pour le chef d'orchestre de cette situation, Paul Biya qui, de façon aveugle, a placé sa confiance en ces gens et au coucher du soleil, l'homme âgé de 92 ans n'a que d'yeux pour pleurer. Il se fait malheureusement tard, et aucune équation n'est en ce moment possible pour sauver le navire du naufrage. Car les choses tombent de Charybde en scylla. D'ailleurs conscients du fait que Biya est complètement amorti par le poids de l'âge et affaibli par la maladie, ces gens n'ont aucune once de compassion et ils persistent dans la bêtise, en manipulant Biya et à le bourrer de grotesques mensonges. Comment se sont-ils donné l'outrecuidance de plaider pour la libération de Amougou Belinga et scie; ceux-là sur qui pèsent des accusations de complicité et coaction de torture ayant abouti à la mort le 22 janvier 2023 du journaliste et animateur Martinez Zogo? N'est-ce pas un gros piège jeté aux pieds du président Paul Biya qui avait pourtant juré la main au coeur, que. "Les assassins de Martinez Zogo serons sévèrement punis?" De toutes les façons, Mvondo Ayolo peut en être sûr et certain que le peuple Camerounais ainsi que la communauté internationale les tiennent à l'oeil. Il ne fait l'ombre d'aucun doute que bon nombre de ces membres du gouvernement ont peur pour leurs investissements dans les multiples entreprises et société écrans de celui qui se fait appeler "l'homme d'affaires le plus riche des Betis". C'est d'ailleurs connu que le terrain arraché à la famille Dengue, sur lequel est bâti l'immeuble Ekang est la propriété de Mvondo Ayolo.
Les masques tombent
A t-on coutume de dire que l'assassin revient sur le lieu du crime
Ceux qui doutaient encore de l'implication de Laurent Esso et Louis Paul Motaze dans le complot ourdi pour rabattre définitivement le clapet à l'animateur et présentateur de l'émission " embouteillages" sont suffisamment servis. Dans chaque organisation des malfaiteurs, les règles sont bien établies. Et c'est le cas pour ceux qui avaient conspiré à l'élimination du journaliste Martinez Zogo. Et l'on peut bien le constater, ce pourquoi les complices de Amougou Belinga font feu de tout bois pour le sortir du trou; même si ils s'arrangent à leur niveau pour lui assurer un bon séjour en milieu carcéral, en lui faisant en même temps bénéficier de quelques privilèges comme c'était le cas samedi dernier ; où Amougou Belinga aurait passé toute la journée dans sa résidence de Mvan. Mais il n'en demeure pas moins que la pression monte et l'impatience ronge l'esprit de Amougou Belinga qui veut à tout prix, respirer à pleins poumons l'air de la liberté. Il n'a de cesse d'ailleurs de se confier à certains de viteurs que "ça dure et je vais attendre jusqu'à quand?" Cette réaction tient compte des promesses que lui avaient faites ses complices de tout faire pour le libérer. Nous avons encore en mémoire, la foireuse libération de Amougou Belinga qui malheureusement avait tout récemment emporté le juge Sikati. Ce dernier s'était fait rouler dans la farine tel un blanc bec par Mvondo Ayolo qui disait être porteur des instructions du chef de l'État, demandant la libération de Amougou Belinga, Eko Eko etc. Le commissaire du gouvernement Cerlin Belinga, qui entretiendrait des rapports très étroits avec ces tueurs en série, gagnerait à bien se tenir.
Amougou Belinga est à bout et menace de cracher, de tout balancer, d'où le déploiement à grand renfort de soutiens de certains ministres à l'instar de Ismaël Bidoung Mpkwat, le premier ministre etc. C'est une lourde machine mise sur pied par Laurent Esso l'homme qui a toujours rêvé de devenir président de la république. En adressant des lettres individuelles au président Paul Biya pour plaider l'élargissement de Amougou Belinga, ceux ci croient dur comme fer que cette démarche obtiendra un écho favorable. C'est donc une question de vie ou de mort, étant donné que Laurent Esso et Louis Paul Motaze craignent que Amougou Belinga ne crache le morceau. De toute façon, les saintes écritures nous enseignent dans le livre d'Exode, que : "malheur à ceux qui pillent, ravagent et tuent, car lorsqu'ils auront terminé leur sale besogne, ils seront également pillés, ravagés, tués". Donc les cris ,les pleurs, la douleur éprouvés suite à l'assassinat de Martinez Zogo, ne resteront pas impunis."
Ref : 𝑷𝒂𝒖𝒍 𝑪𝒉𝒐𝒖𝒕𝒂