Emeline Nvogo, la cheffe des impôts pour le Littoral a été libérée il y a quelques jours. La libération de cette cadre des Impôts du Cameroun est perçue comme une gifle pour le PDG du groupe l'Anecdote. Mais du côté du Zomloa, l'on affirme qu'il se réjouit plutôt de la libération de dame Emeline.

Dans un article publié par le journal Week Infos, nos confrères affirment que la libération de Mme Emeline Nvogo est une 'libération' pour Amougou Bélinga. Ce dernier, soutient le journal, n'a jamais voulu que la cheffe des Impôts du Littoral soit enfermé.

"La cheffe de centre des impôts pour le littoral a été libéré après avoir produits des garants pour sa comparution future. Les ennemis de Jean Pierre Amougou Belinga ont vite vu une défaite pour le patron du groupe l'Anecdote. Que non. "A dire vrai, le PDG n'a jamais été pour qu'on enferme cette dame. C'est son obstination a vouloir mentir qui l'a conduit là où elle s'est retrouvé. Le PDG est un homme de cœur, et il a toujours placé l'homme au centre de ses préoccupations. Mais dans le cas précis, il a été obligé de laisser la justice faire son travail..." Explique un journaliste de Vision 4. Pour ce dernier, cette libération est un indicateur clair que contrairement à ce qu'on dit, Jean Pierre Amougou Belinga est un justiciable comme tous les autres", lit-on dans la publication de notre confrères.

"S'il était si puissant, s'il avait pour parrain le ministre de la Justice comme les mauvaises langues aiment dire, est e qu'on aurait libéré cette dame? " il poursuit avec"... C'est une preuve que la justice est indépendante ai Cameroun. J'espère qu'on va laisser le nom du PDG tranquille maintenant.. maintenant qu'on a compris qu'il est un justiciable comme vous et moi". WEEK INFOS l'a appris, la libération de la CCRIC a été obtenu après une bataille judiciaire bien nourrit. Dame Nvogo est désormais libre, mais pas tirée d'affaire. Dans tous les cas, le camp Amougou Belinga peut toujours savourer cette libération, en ce sens que cela démontre clairement que le pape des médias n'est pas le faiseur de la justice au Cameroun", ajoute Week Infos.