• Brenda Biya s'amuse un peu
• Dans une publication, elle se moque de l'attitude de certains camerounais
• Un publication qui fait rire les internautes
De moins en moins présente sur les réseaux sociaux, Brenda Biya n'y publie que de temps à autres, des petites blagues. Une de ses dernières publications fait marrer les internautes.
"Les camerounais n’ont plus peurs de Dieu les temps ci hein. J’ai entendu dans une prière: seigneur comme tu ne réponds pas rembourse moi toutes mes offrandes, l’heure est grave", écrit Brenda dans une publication sur sa page Facebook.
Brenda et les scandale c'est désormais fini, à lire les publications qu'elle fait sur sa page Facebook. L'on se rappelle qu'il y a au moins un an, la fille de Paul Biya a enchainé des scandales sur scandales.
En effet, les relations entre Brenda et ses parents ont été souvent conflictuelles. Dans une vidéo publié il y a quelques mois, elle déclare être séquestrée dans une chambre de l'hôtel International de Genève.
En effet, la fille unique du couple présidentiel camerounais accuse ces parents de ne pas lui donner l'amour dont elle a besoin. Elle estime que le traitement qu'on lui réserve est similaire à celui des anglophones.
"Je n'ai pas de parents. Dès le départ, ils ont été absents, ils ne m'ont jamais élevé, ils ne m'ont jamais donné d'amour comme un véritable enfant. Tout va bien tant que tu es à leur portée. Tout ce qui les intéresse c'est leur image. Je ne pense pas que ce soit un parent. Donc à partir de maintenant je n'ai ni papa ni maman. Je n'ai pas de sang, pas de frères. Embrassez mon cul. Traitez-moi de fou, peu importe Je sais à quoi ressemble l'amour et ce n'est pas le mien. Mes frères et soeurs et mes parents qui conspirent contre moi. Ma mère n'a jamais voulu me voir grandir. Mon père non plus. Personne ne veut me donner des ailes pour accomplir quelque chose. Des ailes pour être ma propre personne. Silence ma faute mais avec ça vous n'avez pas n'avez pas de fille.", avait-elle déclaré.
Brenda estime que le traitement qu'on lui réserve est similaire à celui réservé aux anglophones.
"Merci maman et papa, vous n'entendrez plus jamais mon nom, je m'en fous si je meurs ici. Je n'ai pas d'amour pour vous tous ! Alors utilisez votre pouvoir pour abuser de moi, le pouvoir leur est monté à la tête. Votre enfant ne vous doit plus rien. Et je m'en fous, je l'ai dit. Vous pouvez me traiter comme vous traitez n'importe quel camerounais ou anglophone ordinaire, je m'en fous, aucune somme d'argent ne pourra jamais m'acheter. Vous pouvez tous m'oublier, je ne veux pas me plier à vos règles. Une relation parent-enfant ne doit pas être une relation dictateur-soumis. A partir de maintenant, ce n'est plus ton enfant. Ces médecins blancs ont réussi à nous séparer et je n'ai plus de parents… Je n'ai plus d'enfant mais à partir de maintenant je n'ai plus de parents ce n'est pas comme ça que des parents traitent un enfant. Dites ce que vous voulez!", avait-elle conclu.