• Le Général Makosso est au Cameroun
• Il a rencontré Samuel Eto’o
• Il fait des révélations sur le président de la Fecafoot
De passage au Cameroun pour calmer les tensions entre les supporters ivoiriens et ceux des Lions Indomptables, le pasteur et web influenceur ivoirien Camille Makosso a profité de son séjour pour rencontrer le président de la fédération camerounaise de football (FECAFOOT), Samuel Eto’o.
Le Général Makosso, comme il aime se faire appeler, salue l’humilité et la foi de Samuel Eto’o en Dieu.
« De toute ma vie sur terre, je n’ai jamais rencontré un homme aussi humble. Meilleur joueur africain de tous les temps, meilleur joueur africain à plusieurs reprises, champion olympique, champion de la ligue des champions avec le Barcelone et l’Inter de Milan, champion d’Afrique à plusieurs reprises et aujourd’hui président de la puissante Fédération Camerounaise de Football.
Malgré tous ses titres, ses finances en milliards, il garde une humilité et une foi intacte en Dieu… », a-t-il publié sur les réseaux sociaux.
Le passage de Makosso au Cameroun alors que les supporteurs camerounais se déchiraient avec leurs frères de la Côte d’Ivoire a calmé les ardeurs de parts et d’autres. Certains blogueurs sont d’ailleurs tombés sous le charme du web influenceur.
« La leçon de tolérance qui enflamme la toile et enchante les coeurs. Parti de sa côte d'ivoire natale pour venir soutenir les lions indomptables au stade Japoma malgré l'élimination de son pays et la controverse née de la dure confrontation observée entre les supporters ivoiriens et Camerounais sur la toile, le célèbre Pasteur Camille Makosso dans la peau de rassembleur enseigne : Il enseigne tout d'abord la tolérance. Il enseigne aussi et surtout le discernement qui doit aider plus d'une personne à comprendre que la faute d'un individu ou de quelques individus ne peut pas être imputée à sa tribu, a sa race ou à son pays. Dans ce sens , il parle aussi bien aux Ivoiriens qu'aux Camerounais. Et pourquoi pas à toute l'Afrique, continent qui a souvent souffert des guerres dont les points de départ sont presque toujours l'intolérance », a publié la blogueuse Arlette Framboise Doumbe Ding.