Le journalisme est l'activité qui consiste à recueillir, vérifier et éventuellement commenter des faits pour les porter à l'attention du public dans les médias en respectant une certaine déontologie du journalisme, d'après les définitions données par Wikipédia.

Cette définition, Arlette Framboise Doumbe Ding a du mal à la retrouver dans la sphère médiatique camerounaise. Cédric Noufele a eu le privilège de sortir du lot et ferait l'exception d'après l'activiste.

De ce fait, l'activiste proche du MRC de Maurice Kamto envoie les professionnels de médias camerounais à l'école du journaliste camerounais évoluant maintenant à Radio-Canada.

« Puisse son exemple inspirer tous ces journalistes qui distillent la haine tribale à longueur de journée dans des médias Camerounais. D'avoir été dans une école de journalisme ne suffit pas. Il faut aussi être bien éduqué pour pouvoir impacter positivement la société. Bravo à Cédric Noufélé pour ce qu'il est et pour ce qu'il a montré jusqu'ici en terme de qualité dans la pratique du journalisme. Et surtout, bon vent à lui à Radio-Canada où il exerce désormais. » indique Arlette Framboise Doumbe Ding.

Au delà de l'aspect professionnel, l'activiste est marquée par les aspects de bonne conduite et de mode de vie personnel du journaliste Cédric Noufele.

« Quelques semaines après son départ du Cameroun pour le Canada où il fait désormais valoir son talent en tant que journaliste, Cédric Noufele à ténu à
exprimer toute sa gratitude à la direction du groupe Equinoxe. Après avoir reconnu tout ce que le groupe Équinoxe lui a apporté comme outils professionnels pour faire valoir son talent durant les 11années passées dans ses couloirs, Cédric Noufele a aussi tenu à remercier ses amis ,collègues et fans pour leurs soutiens multiformes. Dans ce témoignage, on peut voir des valeurs comme la gratitude, le respect et l'humilité. Preuve que Cédric Noufélé n'est pas seulement un très bon journaliste. C'est aussi un garçon très bien éduqué. Jamais on ne l'a vu verser dans des discours de haine comme certains de ses confrères au Cameroun. Je pense qu'il doit son ascension et sa belle carrière à ses qualités professionnelles et aussi à sa bonne éducation » a constaté l'activiste.