Le 8 octobre 2024, le ministre Grégoire Owona a fait une déclaration menaçante, appelant les institutions à sévir contre ceux qu'il qualifie d'imposteurs, c'est-à-dire ceux qui annoncent le décès du chef de l'État, Paul Biya. Owona insiste sur le fait que ces personnes doivent payer le prix fort pour leurs actions.
Elong Ndame critique cette position en soulignant l'hypocrisie du ministre. Il rappelle que Grégoire Owona n'a pas réagi lorsque des chefs traditionnels du Sud ont effectué des rituels de mort contre Maurice Kamto. De plus, Owona reste silencieux face aux problèmes quotidiens des Camerounais, tels que les coupures d'électricité prolongées, le manque d'eau potable et l'état déplorable des routes, notamment les axes Douala-Kribi, Douala-Yaoundé et Douala-Bafoussam.
Ndame affirme que les menaces d'Owona sont vaines et que, en l'absence d'informations officielles, les rumeurs prennent le dessus. Il prédit que les Camerounais découvriront la vérité tôt ou tard. Il compare la situation à celle du Gabon après la mort d'Omar Bongo, suggérant que la réaction des Camerounais au départ de Paul Biya pourrait être différente de ce que l'on pourrait attendre.
CAMEROUN-SOCIÉTÉ : ÉTAT DE SANTÉ DE PAUL BIYA.
Par Elong Ndame
Ce 08 octobre 2024 le ministre Grégoire Owona dans une sortie menaçante appelle les institutions à sévir face à ceux qu'il qualifie d'imposteurs. Selon lui, ceux qui annoncent par divers moyens le décès du chef de l'Etat doivent payer le prix fort.
Mr Grégoire Owona, on ne vous a pas lu quand des chefs traditionnels du Sud avaient fait des rituels de mort envers Maurice Kamto comme sur cette image ci-dessous. Lorsque les camerounais sont privés de lumière des mois dans certaines villes et privés d'eau potable on ne vous lis pas trop avec ces menaces. Lorsque les axes routiers Douala- kribi, Douala-yaounde, Douala - Bafoussam sont en piteux états on ne vous lit pas trop.
Mais pour soutenir un homme qui vous a permis de vous enrichir personnellement avec votre famille vous brandissez les menaces à deux balles.
En l'absence de l'information, la rumeur prend le dessus et vous n'y pouvez rien.
Vos menaces ne serviront à rien car les camerounais connaîtront ma vérité, ce n'est qu'une question de temps.
Les gabonais on pleuré Omar Bongo, réfléchissez juste à la réaction des camerounais après le départ ( qu'on ne souhaite pas car il doit vivre de ses propres yeux le cameroun émergent qui l'a dépassé à construire depuis son village) de leur président. Je peux vous assurer que beaucoup jubileront au lieu de pleurer, c'est la triste réalité et vous le savez, sauf que vous ne pouvez pas le dire.
À nous revoir très bientôt cher Greg.