• Mebe Ngo'o à la Une du journal Essingan
• « La justice française accable Mebe Ngo'o », titre-t-il
• « Mensonge », alerte un avocat international
« Mensonge ! Contrairement à ce curieux journal Essingan, le parquet de Paris a plutôt blanchi l'ancien ministre de la Défense Edgar Alain Mebe Ngo'o dans l'affaire de corruption de fonctionnaires étrangers par la société MAGFORCE », a commencé l’avocat Me Christian Bomo Ntimbane sur sa page Facebook. Ce dernier déballe toute la vérité dans les lignes ci-dessous.
Voici exactement l'un des journaux à gages en service pour désinformer le président de la commandité, au sujet de l'ancien ministre de la Défense Edgar Alain Mebe Ngo'o.
Son titre : "LA JUSTICE FRANÇAISE ACCABLE MEBE NGO'O" est un gros mensonge. A la limite, c'est un article qui exprime la misère morale de son auteur. Comment peut-on mentir à ce point ?
Ayant constaté que le dossier pour lequel Edgar Alain Mebe Ngo'o a été traduit devant le tribunal criminel spécial est juridiquement vide et que le parquet ne parvient pas à rapporter les preuves des accusations de détournement portées contre lui, et dans leur volonté de tromper une fois de plus le président de la République, les mains noires tapies dans l'ordre viennent de commettre cet article mensonger donnant l'impression que l'ancien ministre Edgar Alain Mebe Ngo'o est effectivement poursuivi devant la justice française.
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La Une du journal en question
La Société civile des réconciliateurs qui suit de très près le dossier Mebe Ngo'o, et dont un de ses membres est avocat au barreau de Paris, dément formellement que le ministre Mebe Ngo'o est poursuivi par la justice française. Il n'a jamais été mis en difficulté par la justice française qui ne l'a jamais, au grand jamais poursuivi.
Suivant le réquisitoire de renvoi du parquet de Paris, qui est un acte par lequel le parquet fait ses réquisitions au juge instructeur, le procureur de la République, il apparaît clairement que la justice française n'a jamais ouvert d'enquêtes contre Edgar Alain Mebe Ngo'o.
Par ce réquisitoire, le procureur de Paris vient plutôt de confirmer de manière définitive que Edgar Alain Mebe Ngo'o n'a jamais participé à une opération de corruption en France, en relation avec la société MAGFORCE, comme cela a été écrit dans de nombreux journaux.
Le nom de Monsieur Mebe Ngo'o est tout comme celui du Secrétaire général de la présidence de la République, Monsieur Ferdinand Ngoh Ngoh, cité dans ce réquisitoire du parquet de Paris à titre informatif, comme un des responsables en charge de la signature des marchés sur l'armement au ministère de la Défense.
La Société civile des réconciliateurs dénonce à cet effet, l'instrumentalisation de la presse camerounaise dans des objectifs de règlements de compte et de guerre de clans. De nombreux compatriotes se retrouvent ainsi en prison à cause de ces journalistes, tueurs à gages, sans foi, ni loi qui participent à la manipulation de l'opinion publique et du président de la République.
Si la concurrence politique est permise, il est condamnable d'attenter aux libertés des personnes en les faisant emprisonner pour des visées d'alternance au sommet de l'Etat. L'affaire Mebe Ngo'o en est une illustration patente. Cette presse à gages, l'a toujours présenté comme prétendant au remplacement de Paul Biya.
Les dossiers contre cet homme sont tous juridiquement des montages. La Société civile des réconciliateurs qui défend les droits de tous les citoyens, sans considération de classes sociales, pauvres ou riches, puissants ou faibles, méchants ou bons dès lors qu'ils sont victimes des injustices, ne saurait se taire face à cette injustice.