La troisième épouse de Jean Pierre Amougou Bélinga, Mélissa Etoundi, qui était la Vice-présidente et directrice générale de Vision Assurance est depuis quelques mois, également la Vice-président du groupe l'Anecdote.

Isaac Pone est certes l'Administrateur Directeur général du groupe l'Anecdote. Mais il n'est pas le patron du groupe, alors que le fondateur Jean Pierre Amougou Bélinga est privé de sa liberté, parce que en détention à Kondengui.

Le groupe est actuellement sous les ordres de Melissa Amougou Belinga qui a été propulsée à la tête de l'institution comme Vice-présidente.

Ce détail a échappé à plusieurs Camerounais. Mais lors de la cérémonie d'installation des nouveaux membres qui ont récemment fait leur entrée au sein du groupe, beaucoup se sont rendus compte que Melissa est celle qui commande.

Lors de la cérémonie d'installation, la troisième épouse du Zomloa des Zomloa a été présentée comme la boss, avec le titre de Vice-présidente.

Leïla et Loïc Amougou font leur entrée


Leïla et Loïc Amougou, tous deux fille et fils de Jean Pierre Amougou Bélinga, sont depuis le début du mois d'octobre, des employés du groupe l'Anecdote, depuis le départ de plusieurs employés de la boîte.

A l'occasion des nominations qui sont intervenus récemment au groupe l'Anecdote, l'on apprend que Leïla Amougou est désormais la Directrice des ressources humaines des entreprises et Loïc Amougou chef service du Pool digital de Vision4.

L'entrée dans le groupe l'Anecdote des deux enfants du Zomloa ne sont pas des faits anodains. Si c'est suite au départ de plusieurs employés de la boîte, s'est aussi et surtout parce que la boîte est en train de couler et qu'il faut sauver ce qui peut encore l'être.

En effet, depuis l'arrestation de Amougou Belinga, principal suspect dans l'affaire de l'assassinat de Martinez Zogo, le Groupe l'Anecdote dont il est le promoteur semble s'écrouler tel un château de cartes.

Outre la récente fermeture de Telesud, le récent redressement fiscal que lui exige les Impôts, l'empire du Zomloa des Zomloa érigé en grande partie avec l'argent du contribuable Camerounais grâce à ses amis au sein du sérail, ne tient désormais qu'à un fil.