Actualités of Friday, 14 March 2025

Source: www.camerounweb.com

Mokolo : 24 élèves surpris en pleine partouze

Une activité interdite Une activité interdite

La jeune génération camerounaise, en l’occurrence les élèves, font beaucoup parler d’eux. L’un des scandales qui enfoncent d’habitude les établissements scolaires sur l’ensemble du territoire est l’affaire de mœurs. Il n’y a pas un seul mois qui passe sans qu’on n’en entende parler.

Les apprenants, trop tentés par le plaisir charnel, s’adonnent à des activités uniquement réservées aux adultes mariés. Là où le bât blesse, c’est qu’ils allument les caméras pour filmer la pratique et être sûrs de pouvoir la visualiser plus tard.

Nous avons appris qu’une partouze impliquant des élèves a été découverte. La scène de dépravation en milieu scolaire a été interrompue à Bertoua.

Selon notre source, le vendredi 7 mars 2025, 24 adolescents, dont 9 filles du lycée bilingue de la ville et 11 garçons provenant d’établissements divers, ont été surpris dans une résidence privée située au quartier Mokolo. Ils étaient en nombre suffisant, ce qui prouve que tout était préparé à l’avance.

Les autorités ont été alertées par l’une des participantes qui a informé le surveillant général de son école. Cela a entraîné la mise en place d’un dispositif de surveillance. Il n’était surtout pas question de laisser cette activité répréhensible avoir lieu.

Les jeunes, âgés de 13 à 22 ans, ont donc été interpellés par la police. Ces derniers ont ensuite été entendus avant d’être remis en liberté. Par contre, les organisateurs de cet événement devront faire face à des poursuites judiciaires pour leurs actes.

Selon toute vraisemblance, la jeune qui a dénoncé les autres est beaucoup trop impliquée émotionnellement. Certains témoins racontent qu’elle serait animée par un esprit de jalousie puisqu’elle ne voudrait partager son copain avec personne dans le lot. La seule façon d’y parvenir était de faire en sorte que la partie ne puisse pas tenir.

« Vraiment cette jeunesse. Le Cameroun est en totale décrépitude avec une mentalité en totale déliquescence. Il n’y a aucun repère que l’on propose si ce n’est celui de se haïr au nom de la tribu. Cela fait pitié. Le Cameroun a du chemin et le plus difficile sera de refaire la mentalité », regrette un intervenant sur le sujet.