• La santé de Niat Njifendji se dégrade

• Une 3e réunion annulé ce mardi

• Une évacuation envisagée


Le retour aux affaires courantes de Niat Njifendji ne sera pas de si proche.

Après la série des réunions annulées à cause de son état de santé, l’on espérait encore qu’il aille mieux pour retourner au Sénat.

Malheureusement, ce mardi 1er février, le Président a manqué pour la 3e fois consécutive sa réunion entrainant par ricochet un troisième report de la réunion du bureau du Sénat.

« C’est le troisième report de la réunion du bureau du Sénat. Une réunion importante qui doit finaliser les carrières du personnel et le règlement intérieur », apprend-on.

« Mais il n’a pas pu se tenir ce jour. Et pour cause Niat Njifendji n’avait pas de force pour y prendre part. La réunion a été annulée à la dernière minute. Une mission à l’étranger est d’ailleurs déjà envisagée pour préparer son évacuation sanitaire », précise-t-on.

Réunion annulée au sénat: les nouvelles ne sont pas bonnes pour le président Niat Njifendi

Le remplaçant constitutionnel de Paul Biya ne tiendrait plus sur ses pieds, son état de s'est empiré depuis quelques jours.

C'est la raison principale pour laquelle la réunion des sénateurs prévue le vendredi la semaine dernière, n'a pu avoir lieu.

Des révélations obtenues auprès d'une source au sein du parti du président Niat annoncent qu'il est inutile d'emmener (encore) ce dernier à l'hôpital américain de France.

Notre source, sans en savoir plus sur la maladie du président, très bien tenue secrète par la famille Niat, affirme que plus grand chose, du moins au niveau de la science médicinale moderne ne peut redonner la vigueur d'antan à Niat Njifendi.

"Une nouvelle évacuation sanitaire ne sera que inutile", apprend-on.

Maintenant, la question qui se pose, c'est que va-t-il se passer (personne ne le souhaite) si Niat venait à rendre l'âme?

Rappelons que la réunion du vendredi qui a été annulée était très importante.

Elle aurait pour ordre du jour, la validation du règlement intérieur et les nominations au sein de la deuxième institution du Cameroun.

Encore une fois, que va-t-il se passer?