L'affaire de son mandat d'amené réglée, le Secrétaire général de la présidence de la République a repris confiance en lui même et retourne aux fronts.
Ferdinand Ngoh Ngoh vient encore une fois de s'illustrer dans un dossier. Pour son retour, il engage déjà un bras de fer avec le tout puissant ministre de la Justice Laurent Eso.
En effet, dans une lettre, il demande au nom du chef de l'Etat, au ministre de la Justice de ne pas exécuter la décision de la Cour Commune de Justice et d’Arbitrage de l’OHADA condamnant le Camerounais OMAIS Kassim
"Dans un premier temps que le Cameroun est tenu de se conformer aux décisions de justice rendues par les instances internationales auxquelles il adhère et celles avec les États dont il entretient une coopération judiciaire. Il se passe que depuis 2014, la Cour Commune de Justice et d’Arbitrage de l’OHADA a condamné OMAIS Kassim et la société TRANSPORT OMAIS KASSIM dans l’affaire qui oppose FADOUL Michel à OMAIS Kassim et à la société de transport OMAÏS KASSIM et a mis la société sous administration judiciaire à charge pour l’Administrateur Provisoire de faire l’audit de la société. En juin 2020, A la demande de FADOUL Michel la CCJA a par un arrêt de juin 2020, remplacé l’ancien administrateur judiciaire qui n’avait pas pu exécuter sa mission par un nouvel administrateur Provisoire aux fins d’exécuter la décision de 2014. L’ordonnance rendue le 22 juillet 2020 par le Premier Président de la Cour Suprême du Cameroun rend cette (dernière ) décision exécutoire" révèle le journaliste politique Boris Bertolt dans une publication étant noté que le premier arrêt de 2014 avait été rendu exécutoire par une ordonnance du 4 mai 2015 rendue toujours par le Premier Président de la Cour Suprême du Cameroun,.
"Mais très vite l’homme à la punk écrit au ministre de la Justice, Laurent Esso pour demander la non-exécution de cette décision d’une juridiction internationale à laquelle le Cameroun a adhéré et dont la formule exécutoire a été apposée au nom du Président de la République du Cameroun . Voyant que Laurent Esso s’apprête à faire exécuter la décision de justice m, l’homme à punk lui fait de nouveau savoir en mai 2022 que Paul Biya a demandé de ne pas exécuter cette décision. FAUX, ARCHI FAUX ET IMPOSSIBLE", ajoute Boris Bertolt.
"Le 23 mai 2022, Paul Biya se repose après être revenu d’un séjour Suisse le 19 mai 2022. Soit la veille du 20 mai 2022. Paul Biya ne pouvait pas avoir le temps de s’intéresser à ce genre de choses. L’homme à la punk qui a reçu de l’argent de son ami OMAIS Kassim dit au Garde des Sceaux que Paul Biya a demandé que cette décision ne soit pas respectée. Impossible encore parce que Paul Biya qui a 60 d’administration ne peut pas donner une instruction de violation d’une décision de justice internationale à laquelle il a accepté que son pays adhère. Surtout que ça ne touche même pas son pouvoir", renchérit-il dans une publication.
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