Sans surprise, Valère Bessala n’a pas soutenu Samuel Eto’ après sa bourde au Qatar. Le président de la Fédération camerounaise a été surpris en train de violenter un youtubeur algérien qui lui aurait posé des questions désobligeantes. Au Cameroun Samuel Eto’o est présenté comme la victime et reçoit le soutien de centaines de milliers de ses compatriotes. Ce n’est pas le cas de l’homme politique et administrateur civil.

Lors de l’émission Canal Presse du 11 décembre 2022 sur Canal 2 International, Valère Bessala tire une fois de plus à boulet rouge sur Samuel Eto’o. Le président de la Fecafoot n’avait pas posé le bon geste selon lui. Eto’o serait d’après ses explications une personne violente.

«La violence est un acte de faiblesse et la tempérance c'est une marque de grandeur. Samuel Eto'o est un violent. Si le youtubeur avait eu un problème grave au visage, ça serait la prison », a-t-il déclaré.

Il est en partie soutenu par le cadre du PCRN Rolande Ngo pour qui Eto’o n’avait pas besoin de se mettre au niveau du jeune vidéaste. « On ne peut pas mettre Samuel Eto'o et le YouTubeur sur un même pied d'égalité. On peut permettre à un Youtubeur de provoquer, mais on ne peut pas permettre à un président de fédération d'un pays d'avoir une telle réaction. Les hommes publics véhiculent une image. Aujourd'hui les jeunes n'arrivent pas à s'identifier à certaines icônes », a-t-elle déclaré.

Cette sortie de la militante du PCRN a poussé certains internautes à lui rappeler que la violence se trouve aussi dans sa propre famille politique. Il lui rappelle les déboires de la député Nourane Foster avec un officier de la police à Bafoussam.

« Il fallait aussi condamner l'acte de votre député Nourane contre le policier. Étant donné qu'elle est une personne publique. En réalité nul ne peut prévoir sa réaction face à l'agression verbale ou physique d'un tiers. Il y a des gens de nature tempérée mais face à certaines réactions peuvent perdre leur sang froid. », comme,te l’internaute