Actualités of Saturday, 13 May 2023

Source: www.camerounweb.com

Nouvelle terrifiante : Me Charles Tchoungang dos au mur, Amougou Belinga doit impérativement agir

La rédaction de Camerounweb vient d'apprendre une nouvelle assez terrifiante La rédaction de Camerounweb vient d'apprendre une nouvelle assez terrifiante

La rédaction de Camerounweb vient d'apprendre une nouvelle assez terrifiante pour le clan Amougou Belinga dans le cadre de la suite de l'affaire Martinez Zogo. En effet, des membres du camp du Pdg de l'Anecdote quittent le navire et abandonnent visiblement le Zomloa alors que le procès n'est pas encore terminé.

D'après le confrère "Mutations" qui rapporte l'affaire, Me Nguini affirme s'être retiré, tandis que son confrère Me Ndoumou se montre indécis laissant le plus gros du travail à l'ancien bâtonnier Charles Tchoungang d'assurer la défense de Jean-Pierre Amougou Belinga avec un effectif réduit.

« Le désormais ex-membre du collectif, contacté par Mutations jeudi, a confirmé sa défection, sans s’étendre sur les raisons de ce choix. Son confrère Me Ndoumou, absent à l’audience d’hier, entretient le flou sur son avenir dans ce groupe dirigé par l’ancien bâtonnier Charles Tchoungang. Avant-hier matin, juste après l’audience, il a fait savoir à votre reporter qu’il n’est pas été constitué dans le dossier et se trouve hors de la ville de Yaoundé. Plus tard dans la soirée il déclare être dans le dossier, mais ne détient aucune information sur l’audience du jour » indique le confrère.

Concernant la liberté provisoire, le confrère estime que La défection des avocats et la multiplication des reports ne laissent guère présager un dénouement favorable pour cette demande d’accès au dossier d’enquête. Il est possible qu’elle soit rejetée comme la demande de liberté provisoire introduite d’abord au Tribunal militaire, puis à la Cour d’appel du Centre. Les avocats du patron de médias avaient souhaité que leur client comparaisse libre. Cet espoir avait été douché le 27 avril dernier. Notons tout de même que depuis l’inculpation d’Amougou Belinga et Cie depuis trois, l’instruction est au point mort.