Elle est devenue très "célèbre" après une partie de plaisir organisée avec ces camarades. La jeune fille non mature n’imaginait pas certainement que les conséquences de son acte seraient si dures pour elle-même et humiliante pour sa famille. Mais le vin est tiré et il faut le boire.

Dans des vidéos qui continuent de circuler dans les téléphones portables, on voit l’élève en train de se procurer de la joie avec plusieurs autres garçons du collège adventiste d’Odzoa. Selon les enquêtes, elle ne serait âgée que de seize (16) ans.

Très vite, l’affaire a pris de l’ampleur et sous pression, le premier responsable de l’établissement a décidé de le renvoyer à la maison, après concertation avec les autres décideurs et les professeurs. Mais bien avant, une discussion a eu lieu avec la principale concernée.

Une conversation qui n’a rien donné selon toute vraisemblance. La jeune partouzeuse ne nourrirait apparemment aucun remord, selon ce qui nous est revenu. Elle se rend compte à peine de la gravité de son comportement et de celui des autres.

Des sources confidentielles de cet établissement disent qu’elle est encore insouciante et prend tout ceci pour de l’amusement. Lorsqu’on lui a demandé les raisons ayant motivé cette initiative interdite en milieu scolaire, elle aurait dit qu’ils avaient décidé de s’amuser un peu et que les films qu’ils ont faits n’étaient pas censés arriver sur les réseaux sociaux.

Des confidences qui n’ont fait qu’aggraver encore son cas qui n’était pas déjà très simple. Son renvoi de l’école met fin à son année scolaire qui se retrouve ainsi gâchée. Mais on nous affirme que l’exclusion ne serait juste que temporaire.

Il s’agirait d’une décision pour lui faire prendre conscience de la mauvaise idée qu’ils ont eue ensemble de tourner cette vidéo à caractère sexuel en milieu scolaire au lieu de se concentrer sur leurs cahiers pour réussir en fin d’année.

Malheureusement, la pratique est répandue dans les écoles du pays. Ce n’est pas la première fois qu’on tombe sur ces genres de choses. Alors, à qui la faute ?