Actualités of Tuesday, 16 August 2022

Source: www.camerounweb.com

One All Sports : situation inattendue, un homme politique vol au secours du président de la Fecafoot, Samuel Eto'o

La Fecafoot a rompu 'unilatéralement' son contrat avec le Coq Sportif en Juillet dernier La Fecafoot a rompu 'unilatéralement' son contrat avec le Coq Sportif en Juillet dernier

Si les uns critiquent, d'autres plébiscitent et soutiennent très farouchement le président de la Fecafoot Samuel Eto'o dans cette affaire d'équipementier sportif des Lions Indomptables.

C'est une lapalissade pour tous et un secret de polichinelle, la Fecafoot a rompu 'unilatéralement' son contrat avec le Coq Sportif en Juillet dernier. Juste le temps de digérer cette rupture de contrat, l'instance du football camerounais a lancé un appel d'offres à équipementier pour habiller les Lions indomptables. Quelques jours après, la Fecafoot annonçait la fin de l'appel d'offres et la publication après sélection du nouveau équipementier.

Vendredi dernier, le nom de l'heureux choisi a été dévoilé et le choix s'est porté sur One All Sports. Cette manière de faire dérange beaucoup de camerounais qui sont vite montés au créneau pour dénoncer des magouilles dans cette affaire.

D'autres évoquent des arnaques et du blanchiment d'argent. Mais Célestin Jamo Djamen n'est pas de cet avis. Il demande aux détracteurs de la Fecafoot et parallèlement de Samuel Eto'o de démontrer les lois auxquelles le patron du Foot camerounais aurait enfreint.

« Quelle loi ou convention collective Samuel Eto’o aurait-il enfreint en signant un juteux contrat avec l’Américain One All Sports ? One All Sports ne viendra jamais empêcher nos Lions de marquer un penalty, réaliser un joli drible ou de remporter la Coupe du monde. Alors pas de distraction, si on peut rafler 7000.000.000/an des Yankees, c’est le pied ! Nous devons les exploiter au maximum comme ils l’ont fait pendant 500 ans, même si c’est pour nourrir nos voleurs à nous à condition qu’ils investissent au pays » indique le président de l'APAR.