Le Président de la Fédération camerounaise de football Samuel Eto’o parcours les palais présidentiels en Afrique et ailleurs. Il ne cache d’ailleurs pas ses relations et influences avec les plus puissants de ce monde. Pour lui, il a les bras longs de jours comme de nuit et n’hésite pas à se jouer de ses relations pour atteindre ses ambitions.
Samuel Eto’o vient d’être à nouveau reçu dans un palais présidentiel avec tous les honneurs qui vont avec. En effet, il y a quelques jours, sur invitation de son homologue COMORIEN , Le président de la fédération camerounaise de football Samuel Eto'o a séjourné à MORONI à l'occasion de la célébration du mariage coutumier de Mr SAÏD ATHOUMANE , président de la fédération comorienne de football. « Par la même occasion , le Président de la République des COMORES son excellence Mr AZALI ASSOUMANI a accordé une audience au pavillon présidentiel de l'aéroport à l'ancien goléador Camerounais et à Mr WALLACE KARIA , président de la fédération tanzanienne de football », rappelle BENJI 2Infos
« Le Chef de l’État vient de regagner le pays, ce mercredi après-midi, à l’issue d’un triple séjour à l'étranger, en l'occurrence, en Arabie-Saoudite, aux Etats-Unis d'Amérique et au Royaume du Maroc. Lors de son séjour à l'extérieur du pays, le Président a pris part aux travaux du Premier Sommet Chine - Arabe à Riyad, en Arabie-Saoudite, ainsi qu’au 2ème Sommet USA-Afrique, à Washington D.C, avant de se rendre au Maroc, pour un séjour privé.A sa descente d’avion, le Chef de l’État a été accueilli à l’Aéroport International Moroni Prince Said Ibrahim par certains membres du Gouvernement ainsi que des officiels de haut rang. Le Président de la République a accordé une audience, au Pavillon présidentiel de l’aéroport, à Mr Samuel Eto’o, Président de la Fédération Camerounaise de Football, et à Mr Wallace Karia, Président de la Fédération de Football de la Tanzanie, qui ont séjourné à Moroni pour prendre part aux festivités du mariage traditionnel de leur homologue comorien, Mr Said Ali Said Athoumane. », précise la présidence des Comores.
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