Le patriote camerounais n'a que de très bons rapports de la ville d'Édéa. Il en parle ci-dessous en des termes très élogieux.

Édéa, ma ville, mon enfance. J’étais tout petit, mais pourtant je me souviens encore. Quand grand-mère me portait sur ses genoux, assis dans le bus, nous traversions la Sanaga Maritime pour atteindre Douala.

Édéa, ma ville, se distinguait par la présence d’un vénérable pont métallique, témoin de mille histoires. Tout au long de la traversée, nous contemplions le paysage spectaculaire qu’offrait le fleuve Sanaga. Non loin de là, le barrage d’Édéa, le plus important du pays, se dressait majestueusement.

Édéa, ma ville, mon enfance. Une cité industrielle à la réputation confirmée, point de rencontre entre Yaoundé, Douala et Kribi. À Édéa, on trouvait des populations de toutes origines : Camerounais et étrangers, Bamiléké, Bétis, anglophones, ressortissants nordistes, Africains et Occidentaux.

Édéa est une ville symbolique, où l’histoire a laissé des traces inoubliables. Découvrez en images la belle ville d’Édéa, où chaque coin de rue murmure les souvenirs de mon enfance.

Ensemble, valorisons les merveilles de notre pays. Ensemble, pour un Cameroun meilleur.