Annoncé à la 79ème Assemblée Générale des Nations Unies, le chef de l’État du Cameroun, Paul Biya, n’a finalement pas fait le déplacement à New York. Cette absence a suscité de nombreuses interrogations parmi les citoyens camerounais et les observateurs internationaux.
Depuis son départ de Chine le 8 septembre dernier, le président Paul Biya a disparu des radars, suscitant des questions sur son emploi du temps et sa localisation. Alors qu'il était attendu à la 79ème Assemblée Générale des Nations Unies, il n’a pas effectué le déplacement. À sa place, c’est le ministre des Relations Extérieures, Lejeune Mballa Mbella, qui a délivré l’allocution du Cameroun au Sommet de l’Avenir ce dimanche.
L'Assemblée Générale des Nations Unies a adopté par consensus le Pacte pour l'avenir, ses annexes, le Pacte numérique mondial et la Déclaration sur les générations futures. Le ministre des Relations Extérieures, M. Mbella Mbella, a donc représenté le président Paul Biya lors de cet événement crucial.
Selon certaines sources, le président de la République, accompagné de son épouse, aurait préféré prolonger son séjour privé à l’hôtel Intercontinental de Genève. Cependant, aucune confirmation officielle n’a été donnée à ce sujet, laissant planer le doute sur les véritables raisons de son absence à New York.
Par ailleurs, le Chef de l’État Camerounais est annoncé en France dans les prochains jours, sous invitation de son homologue Emmanuel Macron pour l’assemblée générale de la Francophonie. Cette visite pourrait apporter des éclaircissements sur son emploi du temps et ses priorités diplomatiques.
L’absence de Paul Biya à la 79ème Assemblée Générale des Nations Unies a suscité des interrogations et des spéculations. Alors que le ministre des Relations Extérieures a représenté le Cameroun lors de cet événement important, les citoyens et les observateurs attendent des clarifications officielles sur les raisons de cette absence.
Les prochaines étapes diplomatiques du président Biya, notamment sa visite en France pour l’assemblée générale de la Francophonie, seront suivies de près. Cette visite pourrait offrir des réponses aux questions soulevées par son absence à New York et clarifier ses priorités en matière de politique étrangère.